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Elle songea que se brouiller avec les Fondège et les quitter, c'était peut-être risquer la partie elle jouait son avenir et celui de Pascal. Je dévorerai donc encore cette humiliation!... se dit-elle. Puis, tout haut, et d'un accent d'amère tristesse: C'est être peu soucieux de son nom, reprit-elle, que de l'offrir ainsi

Tu veux me dire que je suis en état de soutenir mon hypostase et la tienne. Dans un autre temps, oui; mais maintenant je suis faible comme le vulgaire des hommes quand il a dîné trop longtemps. Je t'ai retenu ton bras; je te somme de venir me l'offrir. Dans un autre temps, oui, dit Machecourt; mais il y a une difficulté, c'est que je ne puis marcher moi-même.

Sa mère n'avait d'autre préoccupation que d'écarter les personnes qui venaient de France en Italie avec l'intention de l'approcher. Sa vigilance allait même plus loin. Elle avait su, entre autres, qu'un sieur Hennequin composait un ouvrage sur les campagnes de Bonaparte et qu'il avait l'intention de l'offrir

«J'apprends, mon excellent ami, que le marquis d'Alvaro vient d'exposer, au salon du Louvre, le tableau que je lui avais envoyé pour le faire encadrer, et vous l'offrir. Je tremble que cette indiscrétion ne me coûte plus que la vie, en apprenant

Ce n'était pas pour moi que je vous demandais ces fleurs, dit madame de Lameth, mais puisque vous avez eu la peine de briser la branche, ayez au moins le plaisir de l'offrir

Velmont se leva, mit la main sur l'épaule de Devanne, et déclara: Je pense qu'aux données fournies par votre livre et par celui de la Bibliothèque, il manquait un renseignement de la plus haute importance, et que vous avez eu la gentillesse de me l'offrir. Je vous en remercie. De sorte que?...

Le chérif s'était éloigné sur un mot que son père lui avait dit en kabyle; il revint avec la plus belle rose des plates-bandes. Permettez-moi de vous l'offrir, dit galamment l'aga

Oui, mon ami, c'était mon présent... je voulais te l'offrir

Bientôt un nouveau coup vint accabler Fénelon et rendre sa disgrâce irrévocable. Il avait composé une espèce de roman ou de poëme épique en prose, les Aventures de Télémaque. Dans sa pensée, ce livre était destiné au duc de Bourgogne, et son intention était sans doute de l'offrir au prince vers l'époque de son mariage, comme complément et comme souvenir de l'éducation qu'il lui avait donnée. Un domestique infidèle, chargé de recopier le Télémaque, en prit

Le juif tenait en main la dernière pièce d'or, et il fit une pause beaucoup plus longue. Son intention était probablement de l'offrir