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Mis à jour: 2 juin 2025
Les hommes du seizième siècle qui refusaient l'aumône
Quand l'évêque eut entendu les plaintes de la pauvre femme, il lui dit amicalement, mais cependant sur le ton du reproche: «Je ne suis pas assez riche, bonne femme, pour vous donner l'aumône deux fois par semaine.» La pauvre femme répondit sans oser lever les yeux: «Que Votre Grandeur daigne m'excuser; mais mon mari est depuis longtemps alité et tourmenté de si grandes douleurs!...
Les Moscovites demandant l'aumône. L'empereur leur fait donner des vivres et de l'argent. Les journées au Kremlin. L'empereur s'occupe d'organisation municipale. Un théâtre élevé près du Kremlin. Le chanteur italien. On parle de la retraite. Sa Majesté prolonge ses repas plus que de coutume. Règlement sur la comédie française. Engagement entre Murat et Kutuzow. Les églises du Kremlin dépouillées de leurs ornemens. Les revues. Le Kremlin saute en l'air. L'empereur reprend la route de Smolensk. Les nuées de corbeaux. Les blessés d'Oupinskoë. Chaque voiture de suite en prend un. Injustice du reproche qu'on avait fait
Béranger le faisait asseoir, pleurait avec lui, lui donnait un verre de vin pour relever ses forces, ouvrait son tiroir, comptait en petites pièces de monnaie la somme strictement nécessaire pour le pieux devoir, l'enveloppait dans une page déchirée de ses vieilles éditions pour la glisser dans les doigts du pauvre veuf, afin de ménager sa pudeur en ne laissant ni briller ni sonner le métal de l'éclat ou du bruit de l'aumône.
Heureusement un mendiant passa, qui s'approcha d'Athos pour lui demander l'aumône. Athos lui proposa un écu pour l'accompagner où il allait. Le mendiant hésita un instant, mais
Cette peillerouse accostait les passants et leur demandait l'aumône. Il fallait se bien garder de lui rien donner; autrement elle devenait grande et forte, de cacochyme qu'elle vous avez semblé, et elle vous rouait de coups. Un nommé Simon Richard, qui demeurant dans l'ancienne cure et qui soupçonnait quelque espièglerie des filles du bourg
Il allait et venait, presque avec la démarche d'un homme ivre. Un agent de police le regarda avec curiosité, comme il passait, et un mendiant, qui se détacha d'un pas de porte pour lui demander l'aumône, recula d'effroi en voyant un malheur plus grand que le sien. Une fois, lord Arthur Savile s'arrêta sous un réverbère et regarda ses mains.
C'est vrai? demanda Pauline avec bonne volonté. L'aumône, poursuivit M. Bergeret, n'est pas plus comparable
Vous sortiez de l'église et, d'un geste pieux, Vos nobles mains faisaient l'aumône au populaire, Et sous le porche obscur votre beauté si claire Aux pauvres éblouis montrait tout l'or des cieux. Et je vous saluai d'un salut gracieux, Très humble, comme il sied
Cependant vos peuples, que vous devriez aimer comme vos enfants, et qui ont été jusqu'ici si passionnés pour vous, meurent de faim. La culture des terres est presque abandonnée; les villes et la campagne se dépeuplent; tous les métiers languissent et ne nourrissent plus les ouvriers. Tout commerce est anéanti. Par conséquent vous avez détruit la moitié des forces réelles du dedans de votre Etat, pour faire et pour défendre de vaines conquêtes au dehors. Au lieu de tirer de l'argent de ce pauvre peuple, il faudrait lui faire l'aumône et le nourrir. La France entière n'est plus qu'un grand hôpital désolé et sans provision. Les magistrats sont avilis et épuisés. La noblesse, dont tout le bien est en décret, ne vit que de lettres d'Etat. Vous êtes importuné de la foule des gens qui demandent et qui murmurent. C'est vous-même, Sire, qui vous êtes attiré tous ces embarras; car, tout le royaume ayant été ruiné, vous avez tout entre vos mains, et personne ne peut plus vivre que de vos dons. Voil
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