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Mis à jour: 29 juin 2025


«À propos, Monsieurdit Voltaire, «vous me reprochez, mais avec votre politesse et vos grâces ordinaires, d'avoir dit que la Fontaine n'était pas assez peintre. Il me souvient en effet d'avoir dit autrefois qu'il n'était pas un peintre aussi fécond, aussi varié, aussi animé que l'Arioste, et c'était

Je regardai machinalement autour de moi: je ne vis que le vieux paysan boiteux qui portait ma maigre valise, et la felouque chargée de sacs de maïs et de ballots de soie qui balançait son unique mât sur les lames de la plage en attendant le vent de terre. C'est ainsi que je lus pour la première fois l'Arioste.

Le Tasse, attaqué sans ménagement, répondit avec une modération, une modestie qui rendit encore plus odieux l'emportement de ses adversaires . Le sentiment qui règne dans sa réponse, sa piété pour son père , son admiration pour les anciens, ses égards pour l'Arioste, la singularité même de quelques-unes de ses défenses, les formes de sa dialectique et les aveux qu'il ne peut quelquefois retenir, font de cette réponse un morceau des plus précieux pour l'histoire de la littérature moderne.

«À Venise, les gondoliers savent par cœur de longs passages de l'Arioste et du Tasse, et ils les chantent souvent avec une mélodie particulière; mais ce talent paraît aujourd'hui se perdre. Au moins, après avoir pris beaucoup de peine, je ne pus trouver que deux personnes qui pussent me réciter, de cette manière, un passage du Tasse. Je dois ajouter que feu M. Berry me chanta une fois un de ces passages du Tasse,

Le premier fut ce Toscan, père de la Divine Comédie, l'autre, non moins égal en mérite au Florentin, le Scott du midi, est ce ménestrel qui fit briller une nouvelle création dans ses vers magiques, et, comme l'Arioste du nord, chanta la galanterie, les combats, les belles et les prouesses chevaleresques.

Ce qu'on en pourrait distraire, ce serait quelques-uns de ces avant-propos ou billets au lecteur qui sont placés en tête de chaque chant. Il y en a de très jolis. Le Voltaire des petits vers et des petites lettres s'y retrouve. Il a bien fait d'emprunter ce procédé a l'Arioste. Son goût pour l'histoire se retrouve encore dans cet ouvrage pour laquais.

Nous avons parlé de Dante, de Machiavel; nous vous parlerons bientôt de Pétrarque, du Tasse. Aujourd'hui nous ne voulons vous entretenir que de l'Arioste, l'Homère du badinage.

C'était dans ce temple qu'était suspendu le fameau tableau de Xeuxis, mentionné par Pline, chanté par l'Arioste, et pour lequel l'artiste avait fait passer devant lui cent femmes nues, afin de choisir parmi elles les cinq plus parfaites qui devaient lui servir de modèles. Il en résulta que la figure de la déesse était la quintessence de toutes les perfections différentes réunies en une seule. Au reste, comme Xeuxis avait pris goût

Conserver son sang-froid comme l'Arioste, entre le rire et les larmes, entre l'enthousiasme et la moquerie, c'est prouver qu'on ne s'intéresse assez ni aux amours, ni aux héroïsmes, ni aux infortunes, ni aux déceptions du coeur humain; c'est prendre la vie gaiement. Mais est-ce que la vie est une bouffonnerie de la nature?

Avant que les restes de l'Arioste eussent été transportés de l'église des Bénédictins

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