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Mis à jour: 22 juin 2025
Vers le milieu de la nuit elle se réveilla pour mourir. L'agonie fut brève. On avait, comme d'habitude, envoyé chercher l'interne de garde pour y assister. Quand l'infirmier vint le demander, il achevait une partie avec un de ses camarades. Qu'est-ce qu'il y a? demanda-t-il. C'est la jeune fille du numéro 15 qui se meurt. C'est bon, j'y vais.... Théodore, prends donc ma partie.
Il est mort; mort de nostalgie comme les autres qui l'ont précédé ici; mort d'épuisement, mort loin de sa ville natale, mort loin de sa vieille mère, mort loin de son petit enfant. Il a agonisé, car l'agonie commence avec l'exil, il a agonisé trois ans; il n'a pas fléchi une heure. Vous l'avez tous connu, vous vous en souvenez! Ah! c'était un vaillant et ferme coeur!
Quelques secondes après, il se balançait dans l'espace, en proie aux convulsions de l'agonie! Et l'histoire inscrivait un nom nouveau au plus beau livre de son martyrologue. Le lendemain, une femme voilée pénétrait, après avoir visité le cachot de John Coppeland, dans le cabanon où étaient enchaînés Cook et Coppie. Cette femme, c'était Elisabeth Coppeland.
Presque en face d'elle, appuyé au tronc d'un des arbres du petit bois, se tenait le prince Milcza. Il était très pâle presque aussi pâle que Myrtô l'avait vu au moment de l'agonie de son fils et ses traits se crispaient un peu...
Elle parlait ainsi, brisée en deux, secouée par les sanglots, aveuglée par les larmes, la gorge nue, se tordant les mains, toussant d'une toux sèche et courte, balbutiant tout doucement avec la voix de l'agonie. La grande douleur est un rayon divin et terrible qui transfigure les misérables. À ce moment-l
Cela n'a ni queue ni tête... Il n'a plus ses défauts, mais aussi plus une seule de ses qualités... Il veut faire du style et ne fait que de la prétention... C'est assommant... four complet, absolu. L'exposition prolongera peut-être l'agonie; mais c'est une bataille perdue. Le public surtout est furieux.
Le cœur était resté ferme, implacable; la chair défaillait. C'est que jamais son imagination n'avait pu concevoir un spectacle tel que celui qu'elle venait de voir. Elle savait que le poison donne la mort; elle ne soupçonnait pas ce qu'est l'agonie du poison.
Transpercée des flèches de l'amour, elle passa la nuit dans l'agonie du désespoir. A l'aube matinale, quand elle vit son amant
Mais, la nuit, dans sa chambre, l'agonie recommença. A l'idée de la perdre, il avait dû enfoncer sa face au fond de l'oreiller, pour étouffer ses cris. Des images s'étaient précisées, il l'avait vue aux bras d'une autre, faisant
Elle fit un effort pour changer de position, mais ne put pas; sa figure s'altéra et sembla exprimer une douleur intérieure, peut- être quelque trouble précurseur de l'agonie. «Allons, il le faut bien, dit-elle, l'éternité est devant moi; je ferai mieux de le lui dire. Ouvrez ma toilette, ajouta-t-elle, et apportez la lettre que vous y verrez.» Je lui obéis. «Lisez-la maintenant.» dit-elle.
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