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Mis à jour: 2 juillet 2025
Le ciel était clair, mais le froid était supportable. Nous ne vîmes, sur la route, que fort peu d'hommes; cela nous fit penser que, la veille, la plus grande partie était allée plus loin et dans diverses directions. Nous aperçûmes, sur la route, du côté de Kowno, une colonne, mais ne pûmes distinguer si c'étaient des Français ou des Russes: aussi, dans l'incertitude, nous nous remîmes en marche.
De Kowno, Napoléon se rendit en deux jours, jusques aux défilés qui défendent la plaine de Wilna. Il attendit, pour s'y montrer, des nouvelles de ses avant-postes. Il espérait qu'Alexandre lui disputerait cette capitale. Le bruit de quelques coups de feu flattait déj
«Il pouvait être dix heures quand nous partîmes du village. Nous rencontrâmes un autre détachement de Cosaques, escortant des prisonniers, dont quelques-uns étaient de la Garde impériale, qui avaient été pris en sortant de Kowno. Je fus joint
«Maintenant, acheva le sergent, il faut nous reposer un peu, et partir, car, au jour, on pourrait nous donner le réveil.» Alors chacun de nous s'arrangea pour prendre un peu de repos, pendant que six hommes de la garnison de Kowno, six soldats du train bien portants, s'offrirent volontairement pour veiller, chacun
Le 15, le duc de Reggio avait passé la Vilia sur un pont jeté près de Kowno. Le 26, il se dirigea sur Jonow, et le 27 sur Chatouï. Ce mouvement obligea le prince de Wittgenstein, commandant le premier corps de l'armée russe,
Kowno, le 26 juin 1812. Troisième bulletin de la grande armée.
De l'endroit où nous étions, nous pouvions découvrir la route de Wilna, les Russes qui marchaient sur Kowno, et d'autres plus rapprochés, mais la présence du maréchal Ney, avec une poignée d'hommes, les empêchait de venir plus avant. Nous vîmes venir sur nous un individu qui marchait avec peine, appuyé sur un bâton de sapin. Lorsqu'il fut près de nous, il s'écria: «Eh! per Dio santo! je ne me trompe pas, ce sont nos amis!» À notre tour, nous le regardâmes. À sa voix et
Ensuite, je fis réflexion qu'il fallait décamper au plus vite, de sorte que je descendis de mon arbre. Lorsque j'eus fait environ deux cents pas, j'aperçus deux individus, un homme et une femme. Je reconnus qu'ils étaient Allemands; ils me paraissaient être sous l'impression de la peur. Je leur demandai s'ils voulaient venir avec moi, mais l'homme répondit, d'une voix tremblante, que non, et, me montrant le côté de la route, ne me dit qu'un seul mot: «Cosaques!» C'était un cantinier et sa femme, d'un régiment de la Confédération du Rhin, probablement de la garnison de Kowno, qui suivaient le mouvement de la retraite et qui ayant, comme moi, été surpris dans le bois par le hourra, s'étaient mis
Le 14, au point du jour, l'attaque des Russes commence. Pendant qu'une de leurs colonnes se présente brusquement par la route de Wilna, une autre passe le Niémen sur la glace, au-dessus de la ville, prend pied sur les terres prussiennes, et, toute fière d'avoir la première franchi sa frontière, elle marche au pont de Kowno, pour fermer
Les ordres, les hommes, les chevaux et les chariots s'étaient croisés et entre-choqués. Au milieu de ce tumulte, plusieurs chefs avaient poussé hors de la ville, et vers Kowno, tout ce qu'ils avaient pu mettre en mouvement; mais
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