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Mis à jour: 6 juin 2025
Bowring était entré en relations avec plusieurs philologues slaves distingués: Dobrowsky, Kopitar, Hanka, Karadjitch. Mais dès qu'il eut publié quelques articles en anglais, on comprit qu'il n'était pas aussi savant qu'on l'eût imaginé. Le 26 juillet 1828, Kopitar écrivait
Mlle Talvj et M. Dozon, les deux traducteurs les plus fidèles de cette ballade, malgré leur connaissance approfondie du serbo-croate, ont utilisé tous les deux les mauvais textes de Karadjitch; ainsi s'ils ne péchèrent pas par ignorance, ils péchèrent pour avoir négligé de bien choisir leur original.
Lorsqu'il connut le grand succès des Volkslieder der Serben de Mlle von Jakob, John Bowring eut idée d'éditer, lui aussi, une anthologie serbe. Il donna d'abord, dans la Westminster Review, un article sur la poésie de ces pays (juillet 1826), et, neuf mois plus tard, un recueil de chants choisis, précédé d'une longue introduction: Srpske Narodne Piesme (Servian Popular Poetry). Dans l'introduction, comme dans l'ouvrage, il cita abondamment les écrits de Karadjitch, mais il garda le silence sur la traduction allemande d'après laquelle la sienne était faite, comme il le reconnut dans une lettre de pénitent qu'il écrivit
Ces bandits-patriotes ont inspiré très souvent les chanteurs serbes, et ils occupent une large place dans la collection de Karadjitch.
Fils de parents pauvres né en 1787 dans un petit village de la Serbie, Karadjitch étudia quelque temps dans un monastère et devint secrétaire d’un des voyévodas de Kara-Georges pendant l’insurrection contre les Turcs. Deux ans plus tard, en 1806, son protecteur ayant été tué, il se rendit
Il est vrai que ce récit ne fut publié en serbe que six ans après la Guzla; mais il est fort probable que les amis allemands de Karadjitch en avaient eu la primeur; de conversations en conversations, on s'était peu
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