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Mis à jour: 1 juin 2025
Toi! dit-il, pâlissant et presque effrayé... que veux-tu? Il fit un mouvement pour se lever, mais il retomba lourdement sur le siége de pierre. Le manche en bois d'un long poignard kabyle planté dans sa poitrine se dressa au-dessous du cou. Il ouvrit la bouche pour crier, et une seule syllabe, répétée trois fois, s'échappa comme d'un râle: Af.... Af.... Af....
Le beau Kabyle était devenu tout pâle; il continua avec un tremblement dans la voix: J'étais arrivé dans la nuit, accourant
Un matin, la bonne femme me mit dans la main une petite médaille et un grand pain. J'étais guéri! Le beau Kabyle nous montra sa médaille. Elle portait sur l'une de ses faces une image de la Vierge avec cette inscription: «Marie, conçue sans péché, priez pour nous qui avons recours
J'ai des dépêches, répondit simplement le jeune homme, et j'ai l'ordre de me présenter après demain au bureau de la division. Et il se remit en route, tandis que le chef Kabyle lui criait: Tu marches
Notre petite colonne s'engage dans une route muletière qui serpente tantôt sur les crêtes, tantôt sur les flancs de la montagne. En tête marche le Général, regardant sans pâlir l'abîme ouvert sous ses pieds. Son grand voile vert flotte comme un panache sur son épaule; car, pour bien jouir du paysage, madame Elvire livre ses joues roses aux ardents baisers du soleil kabyle. Derrière elle vient M. Jules, son fouet
Il y a du sauvage dans le masque, impassible de ces hommes qui nous regardent. Nous les saluons de la tête; un seul, le plus jeune, nous répond: Ouach-halek! C'est le salut kabyle. Les autres demeurent silencieux; pas un muscle de leur visage ne bouge. Bel-Kassem, sommes-nous donc ici chez des Arabes? Non, Madame; mais ce sont des rustres, des Kabyles peu civilisés.
Notre course se précipite; la nuit approche, et nous sommes loin du but. La mule excitée par la marche a le diable au corps. Le Général est un martyr écartelé sur une selle kabyle. Madame Elvire aurait bien envie de pleurer; mais elle sourit toujours. Le Caporal se lamente pour elle, tout en sanglant des coups de fouet
Tu quitterais tes montagnes? Et ma famille, et ma femme: tout pour aller en France. Tu es marié? Depuis un an. Tu n'aimes donc pas ta femme? dit madame Elvire d'un air de reproche. Un dédaigneux sourire arqua les lèvres du jeune Kabyle: Qu'est-ce que nos femmes
Le Général tend sa main gantée au beau Kabyle. Après une centaine de pas, M. Jules, s'étant retourné, s'écrie: Il est encore l
Un brave chien kabyle, au poil hérissé, aux crocs énormes, que les fumets de la cuisine française avaient entièrement rallié
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