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Mis à jour: 10 juin 2025


Kâlagani, bien soigné par Banks, ne resta que vingt-quatre heures

C'était inutile, en somme, puisque le kraal, entouré d'une solide palissade, était parfaitement clos. Kâlagani alla s'assurer lui-même que la porte avait été soigneusement fermée; puis, cela fait, après nous avoir donné le bonsoir en passant, il regagna la demeure commune

Kâlagani parut même très surpris lorsque l'ingénieur répéta que le Géant d'Acier était plus puissant que tout l'attelage du kraal. Ce fut une occasion pour le capitaine Hod de raconter, non sans quelque fierté, notre aventure avec les trois «proboscidiens» du prince Gourou Singh. Un certain sourire d'incrédulité erra sur les lèvres du fournisseur, mais il n'insista pas.

Et maintenant, si cette troupe avait quitté les gorges des Vindhyas, elle campait depuis quelque temps, c'est que Kâlagani avait pu faire connaître la prochaine arrivée du colonel Munro aux environs du lac Puturia. Par qui? Par cet Indou, qui n'était autre que Nassim et qui suivait la caravane des Banjaris. À qui? À celui dont la main dirigeait dans l'ombre toute cette machination!

En ce moment, un homme parut. Ce devait être le chef de ces Indous. Toute la bande vint aussitôt se ranger devant lui. Un autre homme l'accompagnait. Tout s'expliqua. Cet homme, c'était notre guide, c'était Kâlagani. De Goûmi, il n'y avait pas trace. Le fidèle avait disparu, le traître était resté.

De ce fait, quelques-uns de ses chikaris redevenaient libres, et en particulier Kâlagani. On sait comment et pourquoi nous nous étions véritablement attachés

Cinq ou six de ses gens, et, dans le nombre, Kâlagani, étaient occupés

Kâlagani écouta très attentivement ce que lui apprit l'ingénieur. Puis, d'un ton qui dénotait quelque surprise: «Le colonel Munro, dit-il, n'a plus rien

On eût dît des Sioux de l'Amérique du Nord autour d'un prisonnier enchaîné au poteau du supplice. Le colonel Munro demeura impassible devant l'outrage, comme il voulait l'être devant la mort. Puis, la nuit venue, Nana Sahib, Kâlagani et Nassim se retirèrent dans la vieille caserne. Toute la bande, lasse enfin, quitta la place et rejoignit ses chefs.

À ce moment, près de seize milles avaient été franchis pendant cette marche forcée. Sur l'ordre de Kâlagani, on se remit en route, en suivant toujours la direction de Jubbulpore. Ce ne fut que vers cinq heures du soir que la bande des Dacoits abandonna le grand chemin, pour se jeter sur la gauche.

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