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Mis à jour: 24 juillet 2025


«Que j'abandonne, ou Kâauçalyâ, ou Soumitrâ, ou ma royale splendeur et ma vie, soit! mais non ce Râma, si plein d'amour filial. C'est assez! renonce

Les citadins, qui s'étaient approchés en troupes, purent alors contempler Râma. «Sois le bienvenu, prince aux longs bras, fils chéri de Kâauçalyâdisaient

Quand elle eut un peu recouvré le souffle, Kâauçalyâ, délirante de chagrin et jetant les yeux sur Râma, s'écria d'une voix que ses larmes rendaient balbutiante: «Plût au ciel, Râma, que tu ne fusses pas mon fils, toi qui rends plus vives toutes mes douleurs, je ne sentirais pas aujourd'hui la peine que fait naître ma séparation d'avec toi! Certes! la femme stérile a bien son chagrin, mais celui seul de se dire: «Je n'ai pas d'enfantsencore, n'est-il pas égal

Kâauçalyâ mit au monde Râma, l'aîné par sa naissance, le premier par ses vertus, sa beauté, sa force nonpareille et même l'égal de Vishnou par son courage. De même, Soumitrâ donna le jour

Le monarque, accompagné de sa tristesse, dit alors ces paroles: «Que l'on me conduise au plus tôt dans l'appartement de Kâauçalyâ, mère de mon fils Râma

C'est au milieu de ces récits, que Râma, environné des singes, entra dans Ayodhyâ, cité charmante, décorée en ce moment de guirlandes, pavoisée d'étendards, pleine d'un peuple gras et joyeux, avec ses places publiques, ses marchés et ses grandes rues bien arrosées, ses routes jonchées de fleurs, sans un intervalle, qui ne fût pas rempli de vieillards et d'enfants, au milieu desquels on entendait les femmes dire au monarque arrivé dans sa capitale: «Les habitants de cette ville désiraient te voir, sire, avec leurs frères, avec leurs fils, et, par bonheur, les dieux leur ont fait cette grâce aujourd'hui! Kâauçalyâ eut beaucoup de chagrin, Kakoutsthide; elle souffrit de ton absence infiniment, elle et dans la ville tous les habitants d'Ayodhyâ, sans aucune exception. Délaissée par toi, Râma, cette ville était comme un ciel qui n'a point de soleil, comme une mer

Quand elle vit Râma ainsi ferme dans sa résolution de partir, la reine Kâauçalyâ, sa mère, lui tint ce discours, le coeur déchiré, gémissante, malade entièrement de son chagrin, elle, si digne du plaisir, et néanmoins toute plongée dans la douleur: «Si, mettant le devoir avant tout, tu veux marcher dans sa ligne, écoute donc ma parole, conforme

On voyait sur des chars au bruit éclatant s'avancer, et Kêkéyî, et Soumitrâ, et l'auguste Kâauçalyâ, joyeuses de penser qu'elles allaient ramener le bien-aimé Râma.

Quand elle vit le monarque tombé dans le silence, après qu'il se fut ainsi lamenté, Kâauçalyâ désolée se dit: «Il dortet ne voulut pas le réveiller. Sans rien dire

Kâauçalyâ tout émue accourut

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