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Je ne dirai rien de la position qu'il avait gardée: on voit dans les chroniques juives comment, lorsque le sang du vieux roi David était devenu pesant, les médecins, laissant pillules et potions, lui avaient conseillé de se servir d'une jeune et jolie fille en guise de cataplasme, et comment le remède eut les meilleurs effets . On le lui avait peut-être appliqué différemment, car David en fut guéri, et Juan fut près d'en mourir.

Je sais... je sais qu'elle vient de Galilée, qu'elle a presque vingt ans et qu'elle demeure dans le quartier des Juives,

Quant aux femmes, hélas!... c'est encore et toujours cet éternel féminin des petits théâtres de province, prétentieux, exagéré et faux... Il y en a deux pourtant qui m'intéressent parmi ces dames, deux juives de Milianah, toutes jeunes, qui débutent au théâtre... Les parents sont dans la salle et paraissent enchantés. Ils ont la conviction que leurs filles vont gagner des milliers de douros

Et les belles juives partageaient leurs regrets afin qu'on les prît pour de nobles chrétiennes.

Du fond d'une cour qui se laisse entrevoir par l'entre-bâillement d'une porte vermoulue, se répand un choeur de traînantes lamentations. Les voix de femmes dominent; il y a deux groupes de chanteuses, et qui se répondent. Qu'est-ce que c'est? Une veillée funéraire? Abd-el-Rahim va aux informations. Ce sont des femmes juives qui chantent les prières de la veille du sabbat.

Les persécutions religieuses qui anéantirent vers la fin du XIVe et du XVe siècle les populations juives de ces deux pays ne réussirent pas

Il faut se rappeler que, dans les idées juives, antipathiques

Aujourd'hui, je suivais d'un œil charmé, les mouvements de chatte paresseuse, avec lesquels Mme * pêchait, au fond d'une vitrine, ses porcelaines et ses laques, pour me les mettre dans la main. Puis quand elles sont blondes, les juives, il y a au fond de leur blondeur, comme de l'or de la peinture de la maîtresse du Titien.

Rien de comique et d'attendrissant comme ces deux petites juives sur les planches... Elles se tiennent timidement dans un coin de la scène, poudrées, fardées, décolletées et toutes raides. Elles ont froid, elles ont honte. De temps en temps elles baragouinent une phrase sans la comprendre, et, pendant qu'elles parlent, leurs grands yeux hébraïques regardent dans la salle avec stupeur.

Nous voici très loin, dans ce labyrinthe de murs blancs; et on nous fit entrer chez des juives qui dansaient la «danse du ventre». Cette danse est laide, disgracieuse, curieuse seulement pour les amateurs par la maestria de l'artiste. Trois soeurs, trois filles très parées, faisaient leurs contorsions impures, sous l'oeil bienveillant de leur mère, une énorme petite boule de graisse vivante coiffée d'un cornet de papier doré et mendiant pour les frais généraux de la maison, après chaque crise de trépidation des ventres de ses enfants. Autour du salon trois portes entrebâillées montraient les couches basses de trois chambres. J'ouvris une quatrième porte et je vis, dans un lit, une femme couchée qui me parut belle. On se précipita sur moi, mère, danseuses, deux domestiques nègres et un homme inaperçu qui regardait, derrière un rideau, s'agiter pour nous le flanc de ses soeurs. J'allais entrer dans la chambre de sa femme légitime qui était enceinte, de la belle-fille, de la belle-soeur des drôlesses qui tentaient, mais en vain, de nous mêler, ne fût-ce qu'un soir,