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Car j'adorais cette femme qui était bien mise et sentait si bon! Mais n'ayez peur, camarades de combat et de misère, je ne vous lâcherai pas! «Vous m'en voulez, on dirait que vous me haïssez depuis l'autre jour. Soyez franc, voyons, a-t-elle dit en se plantant devant moi.

«Lâche Dutervil! tu m'as ravi l'objet que j'adorais! tu as arraché

César a, dans un jour, ternit toute sa gloire, en dépouillant son front du prix de la victoire j'adorais dans César l'intrepide Guerrier, mais des que la couronne a flétri son laurier, un sentiment plus fort, l'amour de la patrie Mais bientôt fait rougir de mon idolâtrie. je n'ai vu dans César qu'un vil usurpateur, qu'un tyran couronné digne de ma fureur.

«Je la contemplai d'abord avec une émotion religieuse; ce sommeil si calme d'une femme que j'adorais, et qui se trouvait chez moi, loin de toute surveillance, livrée

Pas encore les couleurs, non. Mais un portrait «posé» et admirablement venu de M. Souris, surnommé La Suprématie (un vieux chat très laid, qui m'appartenait en propre). J'adorais M. Souris, auquel ma grande camarade Lucette avait, par jalousie, donné ce surnom-l

Adieu! vous avez raison! je ne serai jamais qu'un être fatal et maudit! J'ai tué mon père, que j'aimais!... j'ai tué ma mère, que j'adorais!... je te tuerais, toi, que j'adore!... Va-t'en!... Adieu! va-t'en! va-t'en!... je te tuerais!... (Il tombe accablé, en sanglotant. Jeanne va pour sortir, le regarde, redescend

Je lui dis que j'adorais son bon caractère, et que certainement il fallait que tout l'entêtement qu'on peut avoir dans sa personne eût passé dans ses cheveux, car pour lui, il ne lui en restait pas trace.

Je signai le lendemain. J'avais une amie qui me vendit un passeport cent louis. Une amie ne pouvait pas faire moins. Je préparai tout dans le plus grand secret, Florence et mon pauvre et cher Talma étaient seuls dans la confidence. J'avais le coeur bien gros; je laissais mon père que j'adorais, ma jeune soeur, frère, et maman malade. La jeunesse est vraiment égoïste. Je laissais tout ce que j'aimais, et pourquoi? Ma mère malade, que je ne devais plus revoir; si j'avais pu le penser, je serais restée, sans hésiter: on ne veut jamais croire

Quand je ne serai plus, mon fils trouvera ces lignes qui lui apprendront combien j'adorais la mère qu'il a trop peu connue...avec laquelle, devant ce papier, je viens de revivre durant quelques jours. Car elle n'a pas vieilli

»J'étais assez médecin pour savoir que la grossesse est quelquefois accompagnée d'une sorte d'insanité d'esprit. Je redoublai de soumission, d'effacement, de soins. Son mal me la rendait plus chère, et mon coeur débordait d'une pitié aussi tendre que celle d'une mère pour l'enfant qui souffre. J'adorais aussi en elle cet enfant de mes entrailles qu'elle allait me donner; il me semblait entendre sa petite âme me parler déj