Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 11 juillet 2025
S'il a été l'ennemi de mon père, il me plaît moins encore, s'écria Alice, maintenant sérieusement effrayée. Voudriez-vous bien, lui dire quelques mots, major Heyward, afin que je puisse entendre sa voix? C'est peut-être une folie, mais vous m'avez souvent entendue dire que j'accorde quelque confiance au présage qu'on peut tirer du son de la voix humaine.
Eudore et Cymodocée sont deux martyrs. J'accorde sans peine que les portes de l'enfer auraient prévalu contre l'
Je ne dis pas encore cela. J'emploie toujours cet avertissement pour qu'on ne prenne pas ensuite en mauvaise part les récompenses que j'accorde en retour des services qu'on me rend. Vous avez, Léonide, des doutes trop ombrageux et une reconnaissance trop timorée. Employez vos amis, soyez confiante avec eux. Ne suis-je pas le vôtre?
Entre nous, mesdames, êtes-vous bien sûres que tous les hommes soient aussi plats et aussi vils? Franchement, c'est trop généraliser que d'imputer au sexe tout entier les fautes et les turpitudes de quelques exemplaires abominables. J'accorde que, dans les affaires de sentiment, l'homme est inférieur
J'accorde cela de tout mon coeur; qu'elle s'en aille, cette mousmé! Oyouki préviendra ses parents, qui fermeront notre chambre; nous passerons la soirée
Une audience! monsieur, vous vous imaginez donc que j'accorde des grâces. Quand ce ne serait que la grâce de vous voir! C'est une grâce que je n'accorde jamais chez moi, car je ne reçois que mon mari, et il ne me regarde pas. Allez-vous ce soir au bal de la ville, voir les princes étrangers? Oui, si vous voulez m'accorder mes cinq minutes.»
Loin de nous toute pensée d'ironie! Ces choses sont graves, et il faudrait être misérablement gai pour en rire; d'ailleurs ces idées philosophiques et sociales ont vécu dans une âme sincère, c'est assez pour que l'on n'en plaisante pas. J'accorde de grand coeur mon respect, non aux théories elles-mêmes, mais au loyal enthousiasme qui les a embrassées. Au reste, il faut bien le dire, ces doctrines sont mortes, et bien mortes; elles ont succombé sous leur impuissance en face des faits, et le socialisme doctrinal de 1848 a été trouvé incapable de résoudre pratiquement le plus mince problème. Mais ce qui n'est pas mort, ce sont les problèmes eux-mêmes; ce qui n'est pas mort, c'est la nécessité économique et morale de les poser, et d'en chercher au moins la solution partielle. Ce qui n'est pas mort, enfin, c'est la misère et l'imprescriptible obligation, pour quiconque a une conscience et du coeur, de dévouer une part de sa pensée et de sa vie
Encore, en disant que cette prétendue liberté était une autre forme de l'arbitraire que le despotisme, j'accorde plus que je ne devrais: c'était le despotisme sous un autre nom.
Oui, oui, j'accorde le bâton... je trouve, hi, hi, hi... que cet ours bâtonnant contre des chiens sera un spectacle réjouissant... pourtant j'aurais fort aimé, hi, hi, hi,
«Pourquoi, au comble même du désir et des plaisirs humains; pourquoi, aux jouissances du monde, de la société, de l'amour, de l'ambition et même de l'avarice, se mêle-t-il un certain sentiment de doute et de chagrin, une crainte de l'avenir, un doute du présent, un retour sur le passé pour en tirer le pronostic du futur? (Le meilleur des prophètes est le passé.) Pourquoi? Je ne le sais pas, si ce n'est que montés au pinacle, nous sommes plus que jamais susceptibles de vertige, et que nous ne craignons jamais de tomber que du haut d'un précipice, qui, plus il est profond, plus il est majestueux et sublime. Et, par conséquent, je ne suis point sûr que la crainte ne soit pas une sensation agréable; l'espérance l'est du moins; et quelle espérance y a-t-il sans un profond levain de crainte? et quelle sensation est aussi délicieuse que l'espérance? et sans l'espérance, où serait le futur? en enfer. Il est inutile de dire où est le présent: car nous le savons pour la plupart; et, quant au passé, qu'est-ce qui domine dans la mémoire? l'espérance déjouée. Ergo, dans toutes les affaires humaines, je vois l'espérance, l'espérance, rien que l'espérance. J'accorde seize minutes, quoique je ne les aie jamais comptées,
Mot du Jour
D'autres à la Recherche