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Mis à jour: 2 juin 2025


Nous avons dit qu'il faisait grand vent; les sifflements de ce serpent gigantesque glissaient avec des mélodies effrayantes sous la porte, et secouaient les airs d'une façon bizarre; le vent est la plus parfaite imitation ou plutôt la plus complète raillerie de la voix humaine: tantôt il glapit comme un enfant qui pleure, tantôt il imite, dans ses grondements, la grosse colère d'un mari qui se querelle avec sa femme.

Le Charançon imite grossièrement, maladroitement; son pastiche n'est pas une copie, c'est une caricature. Ces difformes parodies ressemblent

«Bravo! s'écria Charles; très bien! Il imite le bruit de la scie; entends-tu, JulietteEt il faisait scier le pauvre chat avec un redoublement de vigueur. Juliette: Que fais-tu donc, Charles? Je parie que tu le tourmentes. Il miaule comme s'il n'était pas content.

La musique cesse, nous applaudissons. On nous imite. Nous sommes assis sur des escabeaux, au milieu d'une pile d'hommes. Soudain une longue main noire me frappe sur l'épaule et une voix, une de ces voix étranges des indigènes essayant de parler français, me dit: Moi, pas d'ici, Français comme toi.

Benedetti, chargé du rôle de Moïse, parut avec un costume simple et sublime, qu'il avait imité de la statue de Michel-Ange

et, dans la description d'une gypsie: Un amulette l'art imite Quelque Diane au front cornu, Des deux seins fixant la limite, Veillait aux mystères du nu.

Sannazar avait imité ce passage d'une lettre de Sulpicius

Dans André Chénier, dans plusieurs des poëtes du XVI e siècle, qui ont imité ou traduit des fragments de poëtes anciens, le sentiment exquis du modèle, ce sentiment que je ne puis définir autrement que celui de l'art même, se révèle

Comment une population du littoral maritime, comment une population de pêcheurs peut-elle être dénuée des moyens de navigation qu'on possède dans le voisinage? Comment n'ont-ils pas imité un instrument nécessaire, un instrument des plus simples, au moins en apparence, et qu'ils connaissent de vue ou par ouï-dire?

Votre littérature nationale, mais elle n'existe pas, si je fais exception de quelques rares oeuvres d'écrivains et de poètes de votre pays qui ont célébré les héros de la Nouvelle-France et les patriotes de mil huit cent trente-sept. Tous les livres qu'on m'a signalés je ne parle, bien entendu, que des romans ne m'ont rien appris d'intéressant, d'inédit, sur le Canada et les canadiens. Vos romanciers n'ont fait qu'esquisser des idylles plus ou moins invraisemblables, n'ayant pas même le mérite de l'originalité. On a beaucoup imité le vieux roman français, quelquefois avec talent, ce qui démontre qu'on aurait pu faire mieux. Les personnages de ces romans n'ont rien de particulier qui les caractérisent et on ne découvre un peu de couleur locale que dans les descriptions de paysages et quelques épisodes de la vie canadienne. Il serait bien inutile de chercher des documents humains dans ces libres saturés de mysticisme et des plus propres

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