United States or Luxembourg ? Vote for the TOP Country of the Week !


Auguste 1757. Madame, mon coeur est touché plus que jamais de la bonté et de la confiance que votre altesse royale daigne me témoigner. Comment ne serais-je pas attendri avec transport? Je vois que c'est uniquement votre belle âme qui vous rend malheureuse. Je me sens pour être attaché avec idolâtrie

Je ne crois pas cela, Harry, et je pense que vous ne le croyez pas non le vouloir, j'ai mis dans cela quelque expression de toute cette étrange idolâtrie artistique dont je ne lui ai jamais parlé. Il n'en sait rien; il l'ignorera toujours.

César a, dans un jour, ternit toute sa gloire, en dépouillant son front du prix de la victoire j'adorais dans César l'intrepide Guerrier, mais des que la couronne a flétri son laurier, un sentiment plus fort, l'amour de la patrie Mais bientôt fait rougir de mon idolâtrie. je n'ai vu dans César qu'un vil usurpateur, qu'un tyran couronné digne de ma fureur.

Ceux-ci, malgré leur bonté, et perdus qu'ils étaient dans leur idolâtrie, parlaient souvent

Oh! s'écria la jeune fille en levant au ciel noir ses beaux yeux humides, oh! si vous saviez ce que c'est qu'un coeur; je vous expliquerais et je vous convaincrais; un coeur aimant est plus fort que toute votre coquetterie et plus que toute votre fierté. Jamais une femme n'est aimée je le crois, et Dieu m'entend; jamais un homme n'aime avec idolâtrie que s'il se sent aimé. Laissez aux vieillards de la comédie de se croire adorés par des coquettes. Le jeune homme s'y connaît, lui, il ne s'abuse point; s'il a pour la coquette un désir, une effervescence, une rage, vous voyez que je vous fais le champ libre et vaste; en un mot, la coquette peut le rendre fou, jamais elle ne le rendra amoureux. L'amour, voyez- vous, tel que je le conçois, c'est un sacrifice incessant, absolu, entier; mais ce n'est pas le sacrifice d'une seule des deux parties unies. C'est l'abnégation complète de deux âmes qui veulent se fondre en une seule. Si j'aime jamais, je supplierai mon amant de me laisser libre et pure; je lui dirai, ce qu'il comprendra, que mon âme est déchirée par le refus que je lui fais; et lui! lui qui m'aimera, sentant la douloureuse grandeur de mon sacrifice,

Ils défendaient l'honneur et le droit, ces chimères. Venez, reconnaissez vos enfants, venez, mères! Car, pour qui l'allaita, l'homme est toujours l'enfant. Tenez; ce front hagard, qu'une balle ouvre et fend, C'est l'humble tête blonde jadis, pauvre femme, Tu voyais rayonner l'aurore et poindre l'âme; Ces lèvres, dont l'écume a souillé le gazon, O nourrice, après toi bégayaient ta chanson; Cette main froide, auprès de ces paupières closes, Fit jaillir ton lait sous ses petits doigts roses; Voici le premier-né, voici le dernier-né. O d'espérance éteinte amas infortuné! Pleurs profonds! ils vivaient; ils réclamaient leur Tibre; Être jeune n'est pas complet sans être libre; Ils voulaient voir leur aigle immense s'envoler; Ils voulaient affranchir, réparer, consoler; Chacun portait en soi, pieuse idolâtrie, Le total des affronts soufferts par la patrie, Ils savaient tout compter, tout, hors les ennemis. Hélas! vous voil

But de la sorcellerie au moyen âge. Elle est avant tout matérialiste et sensuelle. La religion la considère justement comme une idolâtrie sacrilège. Elle s'inspire de toutes les sciences apocryphes.

La différence la plus grande est dans la religion. Lors de leur première apparition, les Wallo-Gallas, ainsi que plusieurs autres branches de la même famille, qui vivent encore solitaires dans l'intérieur des terres sans relations avec les étrangers, étaient plongés dans la plus grossière idolâtrie, adorant même les arbres et les pierres; cependant plusieurs d'entre eux, sous cette forme matérielle de leur culte, adressaient leurs adorations

Pierre III, devenu odieux aux Russes par un caractère sans noblesse, par des vues politiques sans portée, et surtout par son idolâtrie pour les moeurs et la discipline prussiennes, avait été déposé sans opposition et étranglé sans lutte. Catherine s'était donc trouvée,

Ces Bramins, qui entretiennent dans le peuple la plus stupide idolâtrie, ont pourtant entre leurs mains un des plus anciens Livres du Monde, écrit par leurs premiers Sages, dans lequel on ne reconnaît qu'un seul Être suprême. Ils conservent précieusement ce témoignage qui les condamne. Ils prêchent des erreurs qui leur sont utiles, et cachent une vérité qui ne serait que respectable.