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Mis à jour: 30 avril 2025


Tout cela le violon de Iôsef le disait, et bien d'autres choses encore, plus profondes: de ces choses qui vous rappellent les vieux souvenirs de la jeunesse, et qui sont pour nous... pour nous seuls. Aussi le joyeux Kobus en pleurait d'attendrissement.

Ainsi débuta Iôsef, ayant bien des fois, dans sa vie errante, pris des leçons du chantre de la nuit, le coude dans la mousse, l'oreille dans la main, et les yeux fermés, perdu dans les ravissements célestes.

La grande Frentzel, de l'auberge du Boeuf-Rouge, après avoir débarrassé la table, arrivait alors de la cuisine avec un plateau chargé de tasses, et Katel suivait, portant sur un autre plateau la cafetière et les liqueurs. Le vieux rebbe prit place entre Kobus et Iôsef.

Au même instant, Schoultz amenait une petite femme rondelette, du plus beau roux qu'il soit possible de voir, mais gaie, souriante, et qui lui sauta brusquement au coude, comme pour l'empêcher de s'échapper. Ils prirent donc leurs distances, pour se promener autour de la salle, comme cela se fait d'habitude. À peine avaient-ils achevé le premier tour, que Iôsef s'écria: «Kobus, y es-tu

Depuis, tous les ans Iôsef revenait

Oui... et c'est pourtant la dixième années'écria Kobus. Ils se tenaient les mains et se regardaient, les yeux pleins de larmes. Et comme les deux autres attendaient gravement, Fritz partit d'un éclat de rire, et dit: «Iôsef, passe-moi mon pantalonLe bohémien ayant obéi, il tira de sa poche deux thalers. «Voici pour vous autres, dit-il

Fritz et Iôsef, debout sur le seuil, regardaient la voiture; Fritz surtout ne la quittait pas des yeux; elle allait disparaître au détour de la grande rue, quand Sûzel tourna vivement la tête. Alors Kobus entourant Iôsef de ses deux bras, se mit

Tous se levèrent et prirent leurs chapeaux; le gros percepteur Hâan et le grand Frédéric Schoultz marchaient en avant, Kobus et Iôsef ensuite, et le vieux David Sichel tout joyeux derrière. Ils remontèrent bras dessus, bras dessous la rue des Capucins, et entrèrent

Ainsi s'exprima Hâan avec éloquence, et Schoultz, vidant son verre brusquement, lui répondit: «Tu parles comme un être pacifique, et moi comme un guerrier: chacun selon son goût et sa professionIl fronça le sourcil en décoiffant une seconde bouteille de vin. Christel, Iôsef, Fritz et Sûzel ne faisaient nulle attention

Iôsef avait l'air grave, sa figure cuivrée exprimait la contemplation intérieure; il avait rejeté ses grands cheveux laineux loin de ses tempes, et son oeil noir se perdait dans l'azur du ciel, au haut des grandes fenêtres.

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