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Mis à jour: 26 juin 2025


Mais, quelques jours s'étant écoulés sans que le Sword fût de retour, on dut le considérer comme perdu. Les autorités décidèrent alors qu'une seconde expédition serait tentée dans d'autres conditions d'offensive. En effet, il fallait tenir compte du temps qui s'était écoulé près de huit semaines depuis le jour la notice de Simon Hart avait été confiée au tonnelet.

Et il répond: «Le comte d'Artigas est Ker Karraje... comme le gardien Gaydon est l'ingénieur Simon Hart, et Ker Karraje ne rendra jamais la liberté

Maître Gueffès tira sa mèche et s'en alla, mais sur le seuil il se retourna: Si fait! si fait! petit Jeannin, dit-il sans se fâcher, tu épouseras la hart, mon mignon... et j'en serai, de la noce! Il disparut. On entendit au dehors son aigre éclat de rire. Bah! dit la ménagère Fanchon, jalousie!

En réalité, ce prétendu Gaydon était un ingénieur français nommé Simon Hart, depuis plusieurs années au service d'une société de produits chimiques, établie dans le New-Jersey. Simon Hart, âgé de quarante ans, avait le front large, marqué du pli de l'observateur, l'attitude résolue qui dénotait l'énergie jointe

Voyage d'agrément... ou d'affaires?...» ai-je répliqué. L'ingénieur Serkö me répond en souriant: «Voyage d'affaires, monsieur Hart, voyage d'affaires! À l'heure qu'il est, nos engins sont achevés, et, le beau temps revenu, nous n'aurons plus qu'

Ce qui n'est pas douteux, c'est que ce bizarre personnage m'observe, en ce moment, avec une persistance tout au moins singulière. Bien qu'il ne puisse soupçonner que je sois l'ingénieur Simon Hart, il doit se demander ce que je pense de cette aventure. Si le gardien Gaydon n'est qu'un pauvre diable, ce pauvre diable ne saurait être moins soucieux de ce qui l'attend que n'importe quel gentilhomme, fût-ce le propriétaire de cet étrange yacht de plaisance. Aussi, suis-je un peu inquiet de l'insistance avec laquelle ce regard s'attache

Vraiment, Simon Hart! répond dédaigneusement Thomas Roch. Honneur et bénéfice... c'est me dire cela un peu tard!... Vous oubliez que l'on m'avait fait jeter dans un cabanon... sous prétexte de folie... oui! prétexte, car ma raison ne m'a jamais abandonné, pas même une heure, et vous le voyez bien par tout ce que j'ai fait depuis que je suis libre...

À la condition, ai-je dit, que Thomas Roch vous ait vendu la composition de son déflagrateur comme il vous a vendu celle de son Fulgurateur... Cela est fait, monsieur Hart, et je dois vous enlever toute inquiétude

Défensive, monsieur Serkö?... Et offensive, monsieur Hart. Naturellement», répondis-je. Et, serrant l'ingénieur Serkö, j'ajoutai: «Ainsi... ce que personne encore n'avait pu obtenir de Roch... Nous l'avons obtenu sans grande difficulté... En le payant... D'un prix invraisemblable... et, de plus, en faisant vibrer une corde très sensible chez cet homme... Quelle corde?... Celle de la vengeance!

Si l'on connaît les secrets de Ker Karraje, serait-il admissible qu'on ne connût pas aussi l'existence du bateau sous-marin du comte d'Artigas?...» L'ingénieur Serkö me jette un regard soupçonneux. «Monsieur Simon Hart, dit-il, vous me paraissez pousser un peu loin vos déductions... Moi, monsieur Serkö?...

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