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Mis à jour: 12 juin 2025
Entre la fille et le père, l'intimité n'était pas et ne pouvait être profonde. Le banquier vivait seul, silencieux, réservé un de ces hommes qui détournent le plus souvent la tête et voilent leurs yeux comme si la lumière les blessait. Peu communicatif, aussi bien dans sa vie privée que dans sa vie publique, il ne se livrait jamais, même dans ses rapports avec les clients de sa maison. Comment Hadjine Elizundo eût-elle éprouvé quelque charme
Hadjine n'avait rien répondu. Il aurait fallu dire que, si elle se savait aimée, elle aimait aussi. Une réserve toute naturelle lui défendait d'avouer ce sentiment, même
Mais parle donc!... répétait-elle. Parle donc, mon bon Xaris!... Qu'y a-t-il? C'est ainsi qu'Henry d'Albaret et Hadjine apprirent la nouvelle de la bataille navale du 20 octobre. Le banquier Elizundo venait d'entrer dans la salle, au bruit de cet envahissement de Xaris.
Du reste, Henry d'Albaret ne fut pas plus heureux que Nicolas Starkos. Il ne put communiquer avec Hadjine par visite ni par lettre. C'était
Henry d'Albaret et Hadjine se laissaient aller au charme de cette soirée délicieuse. Ils regardaient le sillage,
Henry d'Albaret reçut la lettre par laquelle la jeune fille lui demandait pardon et lui disait adieu. Puis, en compagnie de son brave et dévoué Xaris, Hadjine quitta secrètement Corfou pour se rendre dans le Péloponnèse.
Mes amis, je n'ai fait que mon devoir! répondit le commandant de la Syphanta, profondément ému. Oui!... béni de tous... de tous... et de moi, Henry!» ajouta Hadjine en se courbant
Ce que furent ces derniers jours qui se passèrent dans la maison de la Strada Reale, on le devine sans qu'il soit nécessaire d'y insister. Henry d'Albaret et Hadjine ne se quittèrent pas d'une heure. Ils causaient longuement dans la salle basse, au rez-de- chaussée de la triste habitation. La noblesse de leurs sentiments donnait
Oui, Henry!... Hadjine Elizundo est pauvre, maintenant, et maintenant digne de vous!» À bord de la «Syphanta» Le lendemain, 3 septembre, la Syphanta, après avoir appareillé vers dix heures du matin, serrait le vent sous petite voilure pour sortir des passes du port de Scarpanto. Les captifs, rachetés par Henry d'Albaret, s'étaient casés, les uns dans l'entrepont, les autres dans la batterie.
Sacratif regardait Hadjine, il regardait Henry d'Albaret. Skopélo l'observait, le connaissant assez pour savoir quel serait le dénouement de ce drame. D'ailleurs, les ordres relatifs
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