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Mis à jour: 17 juin 2025
Bien plus, sortant du corps qui lui servait de prison au premier ordre de celui qui momentanément la dominait, cette âme courait le monde, se mêlait aux autres âmes, les sondait sans relâche, les fouillait impitoyablement, et faisait si bien que, comme le chien de chasse qui fait sortir le gibier du buisson dans lequel il se cache, s'y croyant en sûreté, elle finissait par faire sortir ce secret du coeur où il était enseveli, le poursuivait, le joignait, et finissait par le rapporter aux pieds du maître. Image assez fidèle du faucon ou de l'épervier bien dressé, qui va chercher sous les nuages, pour le compte du fauconnier son maître, le héron, la perdrix ou l'alouette désignés
La perdrix aime les collines fertiles, Le pluvier aime les montagnes, La bécasse hante les vallées solitaires; Le héron au vol élevé les fontaines; À travers les hautes futaies le ramier erre, Pour éviter les sentiers de l'homme; Le buisson de noisetier abrite la grive, Et l'épine épandue le linot .
Mais il faut pénétrer plus avant vers le coeur du pays, pour en découvrir l'attrait souverain. Il réside dans les hautes vallées désertes, où tournoie l'aigle et où songe le héron; son séjour est dans ces silencieux et verts amphithéâtres de pâturages, sur lesquels plane une paix solennelle.
La flamme de la cheminée, molle et rougeâtre pendant le jour, devenait vive, claire, crépitante. Elle jetait de grandes lueurs subites sur les tapisseries ternies des fauteuils, sur le renard et la cigogne, sur le héron mélancolique, sur la cigale et la fourmi. Le baron se rapprocha, souriant et tendant ses doigts ouverts aux tisons vifs: Ah ah! ça flambe bien, ce soir.
«La terre fut notre empire, le royaume des oiseaux aquatiques dans l'âge intermédiaire où, jeune, elle émergeait des eaux. Temps de combats, de lutte, mais d'abondante subsistance. Pas un héron alors qui ne gagnât sa vie. Besoin n'était d'attendre ni de poursuivre; la proie poursuivait le chasseur; elle sifflait, coassait de tous côtés.
Chez les oiseaux, cette lutte revêt souvent un caractère plus pacifique. Tous ceux qui ont étudié ce sujet ont constaté une ardente rivalité chez les mâles de beaucoup d'espèces pour attirer les femelles par leurs chants. Les merles de roche de la Guyane, les oiseaux de paradis, et beaucoup d'autres encore, s'assemblent en troupes; les mâles se présentent successivement; ils étalent avec le plus grand soin, avec le plus d'effet possible, leur magnifique plumage; ils prennent les poses les plus extraordinaires devant les femelles, simples spectatrices, qui finissent par choisir le compagnon le plus agréable. Ceux qui ont étudié avec soin les oiseaux en captivité savent que, eux aussi, sont très susceptibles de préférences et d'antipathies individuelles: ainsi, sir R. Heron a remarqué que toutes les femelles de sa volière aimaient particulièrement un certain paon panaché. Il n'est impossible d'entrer ici dans tous les détails qui seraient nécessaires; mais, si l'homme réussit
Bossu par derrière et par devant, juché sur ses jambés de héron, armé des bras du singe, il doit se mouvoir avec cette raideur sans force, cette souplesse sans ressort qui caractérise le jeu d'un corps qui n'a pas en soi le principe du mouvement, et dont les membres, mis en action par des fils, et non par des nerfs, ne sont pas attachés au tronc par des articulations, mais par des chiffons.
On trouve au long de la rivière le héron nain, que les Français nomment l'aigrette. La nonette est un oiseau blanc et noir. Il a la tête revêtue d'une touffe de plumes qui a l'apparence d'un voile; sa taille est celle d'un aigle; il se nourrit de poissons; il fréquente les bois, et s'apprivoise difficilement.
Le héron avait profité de son avantage, et, changeant la direction de son vol, il avait fait un coude vers la forêt, essayant cette fois de gagner de l
A Memoir of the Life of the late Robert Burns, written by R. HERON. Edinburgh, Printed for T. Brown, 1797.
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