United States or Norfolk Island ? Vote for the TOP Country of the Week !


On forme sa maison, D'Aulon est son premier écuyer, Raymond et Louis de Contes sont ses pages; elle choisit pour hérauts d'armes d'Ambleville et Guienne; le frère Jean Pasquerel, lecteur du couvent des Augustins de Tours, est son aumônier.

Henri de Lorraine, duc de Mayenne, grand-chambellan de France, gouverneur de Guienne, fils du ligueur, mort sans postérité en 1621,

Moi, dit-il, j'ai le double de ton âge, mon cousin. On me traite toujours en jouvenceau, parce que j'aime trop les dés et le vin de Guienne. Mais demain mes cheveux vont grisonner; je suis sage.

Le premier frappé fut le roi d'Angleterre, duc de Guienne, voisin, et aussi parent du comte de Toulouse, dont il élevait le fils. Le pape et le roi de France profitèrent de sa ruine. Mais cet événement était préparé de longue date. La puissance des rois anglo-normands ne s'appuyait, nous l'avons vu, que sur les troupes mercenaires qu'ils achetaient; ils ne pouvaient prendre confiance ni dans les Saxons, ni dans les Normands. L'entretien de ces troupes supposait des ressources, et un ordre administratif étranger aux habitudes de cet âge. Ces rois n'y suppléaient que par les exactions d'une fiscalité violente, qui augmentaient encore les haines, rendaient leur position plus périlleuse, et les obligeaient d'autant plus

Arrivé en Guienne, Montespan poussa jusqu'au bout sa lugubre vengeance, un des actes les plus courageux de cette époque de platitudes rampantes. Il fit prévenir tous les gentilshommes de sa province que la marquise était morte, il s'obstina

Et des craintes du brave, et des erreurs du sage, préférait tirer de l'observation des imperfections de l'humanité considérée sous un point de vue plus noble. Et en effet, s'il est vrai, comme le rapporte Brantôme, qu'un fou de cour ayant entendu Louis XI, dans un de ses accès de repentir et de dévotion, avouer qu'il avait été complice de l'empoisonnement de son frère Henri, comte de Guienne, en fit le récit, le lendemain

M. Pélissier, homme de lettres distingué, se trouvait alors occupé auprès de M. Raynouard, célèbre académicien, auteur de la tragédie les Templiers. Célèbre acteur dramatique. Furne, éditeur, Paris. Livraison du 1er décembre 1845. La Guienne, numéro du 28 janvier 1846, Feuilleton par Justin Dupuy. Numéro du 12 juillet 1846.

Parmi les pièces historiques qui datent de la Fronde, la Bibliothèque nationale en possède une (Catal., t. 2, n. 3142) qui a pour titre: La défaite des troupes des sieurs de l'Isle-Bonne et du Plessis-Belière et Sauveboeuf par le comte de Lauzun, en Guienne (30 septembre), etc., 1652, in-4. Lauzun avoit juste vingt ans. Si c'est de lui qu'il s'agit, il commençoit bien. En 1660, aux fêtes de la Bidassoa, Antoine Nompar de Caumont est capitaine d'une compagnie des gardes

Ce qui est certain, c'est que le cardinal tirait des avantages solides de toutes ces négociations: il gagnait du temps, augmentait les soupçons des cabales opposées, et il amusait le prince de Condé par l'espérance d'un traité, pendant qu'on lui enlevait la Guienne et qu'on prenait ses places. L'armée du roi, commandée par Turenne et d'Hocquincourt, tenait la campagne; celle des princes, au contraire, était forcée de se retirer dans

Les généraux ne méritent pas seuls l'admiration de la postérité: n'oublions pas de rendre hommage aux vaillantes troupes qui, dans les plaines d'Abraham et dans les champs du Canada, combattaient pour la France. C'étaient, avec les braves milices canadiennes, les régiments de Royal-Roussillon, Languedoc, la Reine, Artois, Guienne, La Sarre, Béarn et Berry.