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La Fontaine et Florian, Grandville et Kaulbach, fourniraient, aussi plus d'un trait

Dieu nous garde de vous raconter le vaudeville des Petites Misères de la Vie humaine: cette grande Odyssée n'a-t-elle pas trouvé ses deux poètes? Que dire après Old Nick? Que raconter après Grandville, le compagnon de voyage d'Old Nick dans cette vallée de misères si risibles; Je me tais devant ces deux grands noms, vous renvoyant

Les Scènes de la vie des animaux me parurent plus chargées de sens. C'était un recueil bigarré, que toutes les bibliothèques d'autrefois s'enorgueillissaient de contenir. Les vignettes de Grandville me révélaient chez les hommes, je n'avais vu jusqu'alors que l'image de Dieu, les traces de l'animalité. Les animaux du livre étaient costumés en hommes et en femmes, et leur ressemblaient. Je me familiarisai vite avec ce procédé: les déguisements étaient si naturels! Voici l'hirondelle en facteur, le chien en laquais, le lapin en petit employé subalterne, et voil

Madame Grandville s'arrêta. Elle s'était laissé entraîner par sa propre sympathie et avait oublié sa crainte d'exposer sa fille

En 1701, M. Grandville, depuis lord Lansdowne, remit au théâtre le Marchand de Venise, avec des changements considérables, sous le titre du Juif de Venise. On l'a joué longtemps sous cette nouvelle forme.

Ce mot fut comme un trait de lumière pour madame Grandville. Tu as raison, ma fille, et si tu as fait du mal sans le vouloir, nous devons tâcher de le réparer. Mais nous ne pouvons nous arrêter plus longtemps maintenant. Ecoute, petit, veux-tu me promettre d'être ici dans deux heures?... tu nous attendras

Monsieur Grandville consulta du regard sa femme qui lui répondit: Ce serait certainement de l'argent bien placé. Allons, dit-il, je voulais t'en donner vingt, tu m'en prends cent... Je suis volé comme dans un bois. Combien me devras-tu de baisers pour cela? Cent, papa! cent baisers!... Je vais te les payer tout de suite.

Un autre Monde, Transformations, visions, incarnations, excursions, locomotions, explorations, pérégrinations, stations, folâtreries, cosmogonies, rêveries, lubies, fantasmagories, apothéoses, zoomorphoses, lilliomorphoses, métamorphoses, métempsycoses et autres choses; par GRANDVILLE. Paris, 1843. Fournier, libraire-éditeur. 1 vol. petit in-4, paraissant en 56 livraisons d'une feuille, comprenant du texte et 4 ou 5 gravures et un grand sujet tiré

Il y a dans un roman de Balzac un rapide épisode, et confus, qui rappellerait cette tragédie aux généalogistes des idées. Par haine de l'humanité, M. de Grandville donne un billet de mille francs

Outre M. d'Iberville et ses deux frères, M. de Sérigny, et de Bienville, âgé seulement de quatorze ans et frère chéri d'Iberville, il y avait leur cousin de Martigny, fils de leur oncle, Jacques Le Moyne; les deux MM. Dugué de Boisbriant, de La Salle, de Caumont, le chevalier de Montalembert, de la compagnie du marquis de Villette, M. de La Potherie, qui a publié plusieurs volumes pleins d'intérêt sur la Nouvelle-France et sur les événements dont il avait été témoin; MM. de Grandville et de Ligonde, gardes de la marine; Chatrier. Saint-Aubin, Jourdain et Vivien, pilotes, La Carbonnière de Montréal, Saint-Martin, etc.; enfin, Jérémie, qui a laissé une relation assez complète de tous ces événements. Ils avaient avec eux un aumônier. D'Iberville avait toujours soin d'en associer