Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 17 juin 2025
On peut voir encore, près de la sacristie de Notre-Dame, quelques corps de bâtiment de la maison des Le Moyne, et dans le jardin du Séminaire, il restait encore, il y a quelques années, des arbres très anciens qui avaient pu ombrager ses premiers jeux.
L'on a pu remarquer comme le chevalier de Troyes et les messieurs Le Moyne avaient désiré emmener un aumônier avec eux. Ils tenaient aussi
Alors les gens faisaient du feu et prenaient le repos, que l'on prolongeait parfois pendant plusieurs jours quand les fatigues le demandaient. Les frères Le Moyne guidaient les miliciens dans le bois, pour se procurer de nouvelles provisions par la, pêche ou la chasse.
M. de La Barre partit de Montréal le 25 juin 1684 avec M. Le Moyne. Il se rendit au lac Ontario, puis
Il fut aidé par des hommes de foi et de courage. Parmi ces auxiliaires, nous nous proposons de faire connaître la famille des Le Moyne, et la part qu'ils ont eue
C'était en effet le comte de Frontenac, qui arrivait de Montréal avec le sieur François Le Moyne de Bienville. Leur compagnon était M. Prévost, major de Québec, qui avait eu le commandement de la ville en l'absence du gouverneur.
En même temps, les gouverneurs conduisaient des troupes et fondaient plusieurs établissements sur le parcours du fleuve. Dans ces expéditions, Charles Le Moyne était toujours employé comme intermédiaire avec les peuples sauvages, qui avaient la plus haute considération pour lui. De 1670
L'aîné, Le Moyne de Longueuil, était honoré de la confiance des autorités supérieures, et il avait l'affection des nations sauvages, qui l'avaient choisi comme leur représentant près du gouvernement. Sainte-Hélène, de Maricourt et de Bienville étaient des militaires consommés.
Au milieu de leur noble mission, les Français acquéraient une habileté merveilleuse pour occuper le pays. Formés par M. de Maisonneuve et par le chef de la milice, Charles Le Moyne, ils étaient devenus des combattants consommés, des explorateurs infatigables. Ils avaient pris les bonnes qualités des sauvages, et y ajoutaient l'esprit de discipline et de tactique des milices françaises.
D'après Taillepied , «On a observé es maisons de ville que, quand quelque conseiller devoit mourir, on entendoit du bruit en la place où il s'asseoit au conseil: comme le mesme advient aux bancs des églises, ou en autres lieux où on aura fréquenté et travaillé. Quand quelque moyne ou serviteur de couvent sera malade, on verra de nuit faire une bière en la même sorte qu'on la feroit par après. On oit bien souvent es cimetières de village faire une fosse avec grands soupirs et gémissemens quand quelqu'un doit mourir, et comme elle sera faite le jour suivant. Quelquefois aussi pendant que la lune luisoit on a veu des gens aller en procession après les funérailles d'un mort. Aucuns disent que quand on voit l'esprit de quelqu'un, et il ne meurt incontinent après, c'est signe qu'il vivra longtemps, mais il ne se faut pas amuser
Mot du Jour
D'autres à la Recherche