Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !

Mis à jour: 18 juin 2025


Ils moururent tous deux de la petite vérole dont je faillis mourir avec eux, l'inoculation n'avait pas pénétré chez nous. Je fus élevée par un vieux grand-oncle qui était veuf et qui avait deux petits-fils orphelins comme moi et un peu plus âgés que moi.

Le fantastique hypnotise. Quand j'étais enfant, j'ai souvent entendu raconter l'histoire de mon grand-oncle Gillet, mort grenadier de la garde. À Nantes, quand il rentrait chez sa mère, il avait l'habitude de prendre chaque soir un peu de sable et de le jeter, du dehors, contre la vitre pour avertir qu'il arrivait. On courait

Eh bien, laisse-la elle est, et viens la chercher ce soir. Ce soir? oh! nenni! Si les moines la voient, ils la mettront chez eux, en fourrière, et mon grand-oncle sera forcé d'aller la redemander et d'endurer leurs reproches: et moi, il me grondera et me dira que je suis une vilaine comme les autres, ce qui me fera beaucoup de peine. Je vois que tu es une enfant bien élevée.

Mon grand-oncle ne disait mot, mais moi qui le connaissais bien, je voyais qu'il avait une grosse peine et qu'il ne voulait rien entendre aux choses nouvelles.

Mon grand-oncle, l'ancien évêque de Comminges, était établi

Mon grand-oncle était parti. Cela aurait pu durer deux heures, j'étais effrayée. «Quel lyrisme, s'est écriée maman, quel lyrisme! je suis honteuse de l'avouer, mais je suis, comme ma cousine, très pratique. Vive la prose! La poésie, c'est vide, c'est creux je crois même qu'aucune Sœur sur les neuf n'a rien chanté dans mon âme.

I. Dessein de l'auteur. II. Milieu Mlle Dillon passa ses premières années. Son grand-oncle Arthur Dillon, archevêque de Narbonne. Son père Arthur Dillon, 6e colonel propriétaire du régiment de Dillon. Sa mère, dame du Palais. Sa grand'mère Mme de Rothe: son caractère altier et emporté, sa haine pour sa fille. III. Résultat sur le caractère de Mlle Dillon, l'auteur de ces mémoires. Son enfance triste et sa précoce expérience. Elle est préservée de la contagion par sa bonne, la paysanne Marguerite. IV. Mœurs de la société,

Tu veux dire que le cœur et l'esprit se sont rencontrés ensemble pour chanter le même objet. C'est cela même, mon oncle. Pas tant de compliments, a murmuré Francine. Et mon grand-oncle moitié bourru, moitié souriant a repris la parole: Ceci n'est point une poésie louangeuse; c'est le portrait strict de Francine

Je dus céder; mais, au bout de deux minutes le père Girot en eut assez, et j'avais hâte de me retirer, car je pensais: Ils disent que mon grand-oncle serait content. Ils ne savent pas qu'il est mort de chagrin de ne rien comprendre

La «noble rencontre» était présidée par lord Germaine, arrière-grand-père ou grand-oncle de ce lord Germaine qui, vers la fin du dix-huitième siècle, fut colonel, lâcha pied dans une bataille, puis fut ministre de la guerre, et n'échappa aux biscayens de l'ennemi que pour tomber sous les sarcasmes de Sheridan, mitraille pire. Force gentilshommes pariaient; Harry Belew de Carleton, ayant des prétentions

Mot du Jour

l'égaierait

D'autres à la Recherche