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Mis à jour: 4 mai 2025
Tranquillise-toi, dit alors Fricoulet, il va revenir avec un véhicule qui, dans la situation où nous nous trouvons, sera, je pense, accueilli joyeusement... Mais ces lumières?... demanda Ossipoff. ... Sont celles d'une ville aérienne où nous allons nous rendre. Une ville aérienne! répéta Gontran... ah ça! dans ce maudit pays, c'est de plus fort en plus fort... comme chez Nicolet.
Henriette ne vous a-t-elle donc jamais conté notre histoire? demanda La Godaille. Chaque fois que j'ai tenté de lui révéler tous les détails de mon passé, Gontran m'en a empêchée, dit la gentille blonde en rougissant un peu.
Et, sur ces mots prononcés avec une dignité douloureuse, le vieillard tourna les talons et descendant la colline, s'en fut cacher son humeur chagrine sous les grands arbres de la forêt. Un moment, Gontran et Séléna demeurèrent immobiles, se considérant avec stupeur, se demandant s'il fallait voir, dans les paroles d'Ossipoff, une rupture définitive de leurs beaux projets d'union.
Il y avait dans ces derniers mots tant d'amertume, que Gontran, ému malgré lui, se leva et vint serrer la main du vieux savant. Monsieur Ossipoff, dit-il, soyez persuadé que vous aurez en moi, sinon un collaborateur bien utile, tout au moins un fils plein de respect et de dévouement.
Il y avait tant de désespoir dans ces paroles de Gontran, elles me menaçaient d'un nouveau et si formidable malheur, que je me sentis défaillir.
Presque en même temps que le jeune homme, Ossipoff fut auprès du corps de sa fille: Mon enfant! gémit-il, ma fille adorée! c'est toi! c'est bien toi que je revois! Il l'avait prise sur ses genoux et la berçait comme une enfant. Fricoulet écarta un peu Gontran et plaça sa main sur la poitrine de la jeune fille.
Gontran m'interrompit et me dit avec un accent de sérieuse tendresse: Mademoiselle, un mot encore avant de vous voir par un refus peut-être renverser non de présomptueuses espérances, mais des vœux que j'ose
Les femmes prennent toujours leurs désirs pour des faits accomplis. Vous vous abusez étrangement, vous êtes plus jeune que moi. Il se peut que votre illusion dure un peu plus longtemps que la mienne; mais, comme la mienne, elle se dissipera: vous verrez que l'amour romanesque que vous ressentez doit, comme toute chose, avoir son terme.... Gontran, par pitié, ne blasphémez pas!
Mais, mon ami. Voyons, je vous en prie, Mathilde, ne parlons plus de cela. Si vous étiez d'un autre caractère, je croirais que vous plaisantez. Je parle sérieusement, Gontran, et c'est sérieusement que je vous supplie de m'accorder ce que je vous demande. Ah ç
Ah! monsieur Fricoulet, dit-elle, combien je vous plains de n'avoir pas une science aussi étendue que celle de votre ami Gontran... lui, au moins, n'a pas de ces incertitudes-l
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