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Mis à jour: 6 juillet 2025
[Note 678: Albert de Gondi, duc de Retz, et maréchal de France, particulièrement cher
[Note 830: Corbinelli, Histoire généalogique de la maison de Gondi, Paris, 1705, 2 vol. Antoine de Gondi, père du duc de Retz, t. II, p. 2. Sur le «négoce des Gondi», le généalogiste est muet. Aussi faut-il suppléer
C'est mon hôte, madame!... Messieurs, songez-y... C'est l'enfer qui nous attend tous s'il vit! rugit Catherine. Moi, je retourne en Italie, dit Gondi. Le salut de mon âme avant tout! Sire, fit le chancelier de Birague, daigne Votre Majesté me permettre de me retirer sur mes terres... Par le tonnerre du Ciel! vociféra Tavannes, je vais offrir mon épée au duc d'Albe! Partez! gronda Catherine.
[Note 833: Sur Jean-Baptiste Gondi, le «compère» de Catherine, banquier
Sa suite se composait du duc de Nevers, du duc de Mayenne, du marquis d'Elbeuf, de Jacques de Silly, comte de Rochefort, du comte de Chaunes, de Jean Saulx-Tavannes, vicomte de Lagny, de Louis P. de la Mirandole, de René de Villequier, de Gaspard de Schomberg, d'Albert de Gondi, maréchal de Retz, de Roger de Bellegarde, de Belville, de Jacques de Levi de Quélus, de Gordes, des frères de Balzac d'Entragues, et de plus de six cents autres Français, tous gentilhommes. Il y avait, en outre, Pomponne de Bellièvre qui suivait le prince en qualité d'ambassadeur de France
Catherine de Médicis entra, et, sans autre explication: Mon fils, en ce moment, M. le chancelier de Birague, M. Gondi, le duc de Nevers, le maréchal de Tavannes et votre frère, Henri d'Anjou, sont réunis dans mon oratoire pour y prendre des décisions propres
Après avoir été quelque temps curé de Clichy, Vincent quitta cette paroisse pour se charger de l'éducation des enfants de M. de Gondi, comte de Joigny, général des galères de France. Il était depuis peu dans cette maison quand il fut averti que ce seigneur devait provoquer en duel un de ses ennemis. Suivant l'usage des temps chevaleresques, M. de Gondi voulut entendre la messe avant d'aller se battre. Vincent, ayant quitté l'autel, aborde le comte
Partisans et traitants prospéraient au milieu de la misère générale. Des Gondi encore , et des gens inconnus la veille, les Sardini, les Adjacet, les Zamet, amassaient en quelques années des fortunes immenses, épousaient des filles de la noblesse et de l'aristocratie, s'anoblissaient, faisaient souche de gentilshommes, d'abbés, d'évêques. Ces nouveaux riches du temps n'étaient d'ailleurs pas tous Italiens. Les Français qui entraient dans ces sociétés ne se montrèrent pas moins âpres au gain, mais les huguenots et les politiques avaient intérêt
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