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Mis à jour: 29 mai 2025
93. Tout le monde n'est pas moraliste comme Southey, quand il prêchait dans le monde la Pantisocratie; ou comme Wordsworth, non imposé, non salarié, quand il saupoudrait de démagogie ses poèmes de colporteur; ou comme Coleridge, long-tems avant que sa plume inconstante ne déposât dans le Morning-Post son aristocratie: alors que, lié avec Southey et marchant sur les mêmes traces, ils épousaient les deux sœurs (établies mercières
Beaumont entier était en liesse pour le mariage de la petite brodeuse, que tous les coeurs épousaient. Ce beau soleil criblant les rues, c'était comme la pluie d'or, les aumônes des contes de fées, qui ruisselaient de ses mains frêles. Et, sous cette joie de la lumière, la foule se portait en masse vers la cathédrale, emplissant les bas-côtés, débordant sur la place du Cloître. L
Et une fois sur ce thème, je ne sais qui eût pu l'arrêter. La belle âme que celle du docteur Fontaine! Les hommes devenaient bons, sages, dignes et libres dans ses utopies; la veuve était protégée, l'enfance instruite, et les jeunes gens, robustes et sains, épousaient vaillamment les jeunes filles sans dot. Comme sa vieille jument jaune avait raison de hennir lorsqu'elle passait, selon sa fantaisie, d'un bord
Partisans et traitants prospéraient au milieu de la misère générale. Des Gondi encore , et des gens inconnus la veille, les Sardini, les Adjacet, les Zamet, amassaient en quelques années des fortunes immenses, épousaient des filles de la noblesse et de l'aristocratie, s'anoblissaient, faisaient souche de gentilshommes, d'abbés, d'évêques. Ces nouveaux riches du temps n'étaient d'ailleurs pas tous Italiens. Les Français qui entraient dans ces sociétés ne se montrèrent pas moins âpres au gain, mais les huguenots et les politiques avaient intérêt
On me dira que les domestiques d'aujourd'hui n'ont pas les qualités des serviteurs d'autrefois; que les idées d'égalité et d'indépendance ont surexcité en eux l'égoïsme et l'envie; qu'elles sont d'un autre âge, ces servantes probes et dévouées qui épousaient, en quelque sorte, la famille de leurs maîtres et lui rendaient en fidélité et en respect ce qu'ils recevaient en sollicitude et en affection. A quoi je répondrai que, si vraies qu'elles soient, ces réflexions confirment le mal social dont nous souffrons, sans le guérir. Et puis, les maîtres n'ont-ils pas fréquemment les domestiques qu'ils méritent? Prennent-ils un soin attentif de leur moralité, de leur santé, de leur avenir? Si l'inférieur a des devoirs, le supérieur a les siens. Voulez-vous que vos domestiques s'attachent
Heureux temps, où les bergers épousaient des princesses! Et quelles princesses, encore!
Ce n'étaient pas seulement les gentilshommes qui épousaient des filles de robe ou de finance; les hommes de robe et les financiers épousaient, eux aussi, des filles nobles et pauvres. Ces mésalliances, il est vrai, étaient plus rares, parce que, si le gentilhomme gardait son titre, la femme perdait le sien . Aussi quels cuisants chagrins pour l'amour-propre de ces jeunes filles! Quels dédains pour les familles qu'elles honoraient de leur alliance! L'une d'entre elles épouse le fils d'un laquais. Une jeune fille de grande maison est sacrifiée
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