Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !

Mis à jour: 19 juin 2025


Les bataillons envoyés de Paris en Vendée comptaient neuf cent douze hommes. Chaque bataillon avait trois pièces de canon. Ils avaient été rapidement mis sur pied. Le 25 avril, Gohier étant ministre de la justice et Bouchotte étant ministre de la guerre, la section du Bon-Conseil avait proposé d'envoyer des bataillons de volontaires en Vendée; le membre de la commune Lubin avait fait le rapport; le 1er mai, Santerre était prêt

Gohier fit un pas en avant, et, d'une voix ferme: Nous nous rendons, non pas

Les conjurés des deux Conseils délibéraient sur le mode le plus convenable et le plus sûr d'exécution, quand Dubois de Crancé alla dénoncer la conjuration aux Directeurs Gohier et Moulins, demandant qu'on fit arrêter sur-le-champ Bonaparte, et se chargeant de présider lui-même

A dix heures, Gohier, Barras et Moulin formant la majorité du directoire, ont mandé le général Lefèvre, commandant la dix-septième division militaire, pour rendre compte de sa conduite et de ce qui se passait: Lefèvre répondit que, d'après le décret que venait de rendre le conseil des anciens, il n'avait plus de compte

Or, comme nous le disions, ce fut en 1799, dans le seizième siècle du patronat de saint Janvier, MM. Barras, Rewbel, Gohier et autres régnant en France sous le nom de directeurs, que la chose arriva.

Chaque jour l'horizon politique devenait plus sombre. Nous venions de perdre l'Italie, et nous étions menacés de perdre la Hollande et la Belgique: une expédition anglo-russe avait débarqué le 27 août dans la Nord-Hollande. C'est dans les revers que le parti exagéré puisait de nouvelles forces. Ses conciliabules devinrent plus fréquens et plus actifs; il se donna pour chefs Jourdain et Augereau, qui siégeaient aux Cinq-cents, et dans le conseil, Bernadotte, qui tenait le porte-feuille de la guerre. Près de deux cents députés étaient recrutés dans le même parti; c'était la minorité, mais une minorité effrayante; elle avait d'ailleurs pour racines au Directoire les Directeurs Moulins et Gohier, au moment Barras, affectant de tenir une sorte de balance, se croyait, par l

Eh bien, le général Bonaparte, en grand uniforme, accompagné des généraux Beurnonville, Mac Donald et Moreau, marche sur les Tuileries, dans la cour desquelles dix mille hommes l'attendent! Moreau!... Moreau est avec lui! s'écria Gohier. À sa droite! Je vous l

Gohier et Moulins, patriotes sincères et honnêtes, plus modérés que leur parti, parce qu'ils étaient au pouvoir, admiraient Bonaparte; mais ne voulant se servir de son épée que pour la gloire de la constitution de l'an III, ils souhaitaient de l'envoyer aux armées. Bonaparte les traitait avec beaucoup d'égards; il estimait leur honnêteté, car il l'a toujours aimée chez les hommes (c'est un goût naturel et intéressé chez un homme pour gouverner). D'ailleurs, les égards qu'il avait pour eux étaient un moyen de prouver qu'il honorait les vrais républicains. Sa femme s'était liée avec celle de Gohier. Elle calculait aussi, et elle avait dit

Mais il fallait attendre, se laisser prévenir par les offres des partis, et observer leurs chefs, pour voir avec lesquels d'entre eux on pourrait faire alliance. Les partis étaient tous représentés au directoire. Les patriotes avaient, comme on l'a vu, Moulins et Gohier. Les pourris avaient Barras. Les politiques ou modérés avaient Sièyes et Roger-Ducos.

«Venez, mon cher Gohier et votre femme, déjeuner avec moi demain,

Mot du Jour

l'égaierait

D'autres à la Recherche