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Mis à jour: 7 mai 2025


Autrefois, ses pampres sans nombre S'entrelaçaient autour du puits, Père et mère goûtaient son ombre, Enfants, oiseaux, rongeaient ses fruits. Il grimpait jusqu'

Comme il arrive souvent aux femmes qui ont fait beaucoup parler d'elles, lady Rovel tenait par-dessus tout au respect; elle était sévère sur l'article des bienséances et faisait avec des yeux d'argus la police de ses réceptions publiques. Elle n'y souffrait ni un personnage équivoque, ni une familiarité malséante, ni un propos libre, ni un geste hasardé. Bien qu'elle eût fort peu ménagé l'opinion, elle exigeait qu'on tînt grand compte de la sienne, et depuis son retour d'Allemagne elle était presque collet monté. Elle en avait rapporté aussi le fanatisme du contre-point, elle ne jurait que par deux ou trois maîtres, et méprisait les ariettes. On faisait chez elle beaucoup de musique de chambre, au grand déplaisir des Florentins, qui goûtaient peu l'austérité de cet amusement. Quiconque se fût permis de chuchoter ou de balancer sa chaise pendant l'exécution d'un quatuor de Mendelssohn ou de Schumann aurait été remis

Les autres enfants, attendris comme Elisabeth par la bonté et la bonne volonté de Jacques, lui en demandèrent tous, et tous, après avoir goûté, déclarèrent que c'était excellent. Le petit Jacques, qui avait examiné avec inquiétude leurs visages pendant qu'ils goûtaient

«En attendant, les passions, les ambitions s'agitent de toutes parts, et cela surtout contre M. de Villèle. Mais il a pour lui son talent, son indispensabilité, la difficulté de le remplacer; il a pour lui le roi, Monsieur, la Chambre des députés, les trois-quarts de la France, les royalistes raisonnables, les honnêtes libéraux, et même les ambassadeurs étrangers, qui ne le goûtaient pas beaucoup et qui sont très-contents depuis qu'ils traitent directement avec lui: on est bien fort avec tout cela, et on a bien des moyens de déjouer les intrigues de tout genre. M. Royer-Collard disait dernièrement

Du reste, les bonheurs pleuvaient sur cette maison. M. Grégoire, très jeune, avait épousé la fille d'un pharmacien de Marchiennes, une demoiselle laide, sans un sou, qu'il adorait et qui lui avait tout rendu, en félicité. Elle s'était enfermée dans son ménage, extasiée devant son mari, n'ayant d'autre volonté que la sienne; jamais des goûts différents ne les séparaient, un même idéal de bien-être confondait leurs désirs; et ils vivaient ainsi depuis quarante ans, de tendresse et de petits soins réciproques. C'était une existence réglée, les quarante mille francs mangés sans bruit, les économies dépensées pour Cécile, dont la naissance tardive avait un instant bouleversé le budget. Aujourd'hui encore, ils contentaient chacun de ses caprices: un second cheval, deux autres voitures, des toilettes venues de Paris. Mais ils goûtaient l

La veille de son départ, il se rendit au cimetière [Illustration] de la Côte des Neiges, déposer quelques fleurs sur la tombe de celle qu'il avait tant aimée. Après avoir longtemps cherché, il trouva le petit tertre isolé sur lequel il s'inclina longtemps, revivant toute leur vie intime jusqu'au dénouement fatal. Puis, il revint par les sentiers ombragés de la montagne des familles goûtaient sur l'herbe verte, des couples

Car Jonathan ne pouvait douter que l'axiome du parallélisme moléculaire ne fût applicable aux choses de la pensée comme aux manifestations de l'ordre matériel les sentiments n'étant qu'une résultante des commotions corporelles et, dès lors, il se flattait qu'avec lui tous les innumérables Jonathans goûtaient les joies du coeur et les plaisirs intellectuels découlant de leur mutuelle découverte.

Cependant, l'homme a besoin de distractions et les Grecs goûtaient comme nous ces plaisirs en commun qui sont une des nécessités de la vie; mais ils les prenaient au dehors, et comme les spectacles au grand soleil s'accommodent des proportions les plus variées, ils étaient quatre autour d'un flûtiste, cent mille autour d'un discobole. Telles étaient leurs «matinées».

«La séparation, comme on le voit, est complète entre les deux sexes; ils ne mangent pas même ensemble; un bambin serait désolé qu'on lui vît partager le repas de sa mère. Avant leurs étroites relations avec les Arabes, les Ouanyamouézi ne goûtaient pas

Ses vénérables maîtres estimaient peu la littérature en elle-même. Pour leur compte, ils ne visaient pas au talent. Ils jugeaient que ce qu'il convient d'étudier chez les anciens et de leur emprunter, c'est simplement l'art d'exprimer clairement et exactement sa pensée, afin qu'elle soit plus efficace. Mais comment pouvaient-ils croire qu'un enfant tendre, intelligent et passionné ne chercherait que cela dans Homère, Sophocle, Euripide, Térence, Virgile? Est-ce par ces lectures qu'ils pensaient le détourner de la poésie, ou le munir d'avance contre les passions? Ces saints hommes goûtaient trop les belles-lettres. Ils n'étaient pas parfaitement conséquents avec eux-mêmes, et je les en aime davantage. Il est bien probable, d'ailleurs, que les religieuses, et sa tante la mère Agnès de Saint-Thècle, et sa grand'mère Marie Desmoulins, avaient été touchées des strophes l'enfant les comparait

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