Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 25 mai 2025
C'est ainsi qu'en 1826, les rédacteurs du Globe crurent devoir rendre hommage au vieux poète et lui envoyèrent la collection de leur journal. Goethe en eut beaucoup de plaisir. «Tous les soirs, écrivait-il au comte Reinhard (27 février 1826), je consacre quelques heures
Ce fut un illustre écrivain qui ouvrit la brèche. En 1797, Goethe composa sa Fiancée de Corinthe, «une histoire vampirique», comme il l'appela lui-même (eine vampirische Geschichte ), cet impressionnant poème «où chaque mot produit une terreur croissante» et «indique, sans l'expliquer, l'horrible merveilleux de la situation ». Une véritable orgie vampirique y est décrite dans la scène principale, «la plus extraordinaire que l'imagination en délire ait jamais pu se figurer», où,
En 1811 Bettina épousa Achim d'Arnim, écrivain distingué. Sa passion pour Goethe, connue de tout le monde, n'avait porté aucune atteinte
On vient d'annoncer dans la même journée la mort de Goethe, la mort de Benjamin Constant, la mort de Pie VIII . Trois papes de morts. Elle ne se réalisa pour Goethe que quinze mois plus tard. NAPOL
Pour arriver aux êtres supérieurs, aux héros de la race ailée, grands artistes aux coeurs chaleureux, il nous faut dégrossir l'oiseau, atténuer la matière pour l'exaltation de l'esprit et le développement moral. La nature, comme tant de mères, a du faible pour les plus petits. «Lumière! plus de lumière encore!» Tel fut le dernier mot de Goethe.
Le chantre de la matière vivait, et sa vieille poussière se modelait encore autour de son génie. J'aurais pu voir Goethe, et je ne l'ai point vu; il laisse un vide dans la procession des personnages célèbres qui ont défilé sous mes yeux.
Il nous faut donc chercher le secret de Faust au fond du coeur de Goethe. Alors que le poëte nous est connu, le poëme nous est expliqué. Sans cela, Faust est une énigme, il est empreint de ce défaut capital que l'auteur ne pouvait pas éviter, celui de ne pas agir conformément
Toutefois je n'étais pas demeuré absolument oisif. Ma distraction favorite était la lecture du Faust de Goethe, en français, bien entendu, car je ne savais pas un mot d'allemand; je lisais, en outre, et avec grand plaisir, les poésies de Lamartine: avant de songer
Mais en 1827, lorsque M. Ampère le visita, sa disposition d'esprit était bien changée; Goethe, averti par le Globe, était au fait de tout, curieux et avide de toutes les particularités
Ce fut la veille de ce jour que Liszt vint me voir. Nous ne nous connaissions pas encore. Je lui parlai du Faust de Goethe, qu'il m'avoua n'avoir pas lu, et pour lequel il se passionna autant que moi bientôt après. Nous éprouvions une vive sympathie l'un pour l'autre, et depuis lors notre liaison n'a fait que se resserrer et se consolider.
Mot du Jour
D'autres à la Recherche