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Mis à jour: 8 octobre 2025
Je ne sais plus quel jour de cette semaine aventureuse un de mes parents m'assura connaître un officier qui disait avoir reçu, le jour de la bataille de Paris, l'ordre, apporté par monsieur de Girardin, de faire sauter le dépôt de poudre des Invalides. Cela se répéta dans mon salon et parvint aux oreilles de monsieur de Nesselrode; il me demanda si je pouvais savoir le nom de cet officier et obtenir des détails sur cette aventure. J'appelai la personne qui l'avait racontée. Elle répéta que monsieur de Lescour, officier d'artillerie commandant aux Invalides, avait été appelé le mardi soir
Avant de quitter ce sujet des cocardes, je ne puis m'empêcher de rapporter que, de la terrasse de madame Ferrey où j'avais été voir passer le cortège, nous aperçûmes monsieur Alexandre de Girardin se rendant
On cause de la pièce des DEUX SOEUBS, jouée hier, et absolument chutée, et que la princesse, dans un sentiment de bienveillance pour Girardin, soutient mordicus, et contre tous, être un succès...
Hélas! M. de Girardin, si clairvoyant qu'il fût, n'avait pu tout prévoir. Avant que son aimable gazette eût atteint un an d'âge, survenaient les «Trois Glorieuses»; la monarchie légitime était précipitée. Il devenait bien vain, sinon quelque peu périlleux, de se réclamer, désormais, de la bienveillance de la fille des rois. Emile de Girardin, sans hésiter, vendit la Mode.
17 mai. Saint-Victor a dîné hier chez Girardin, où se trouvaient Boitelle, le général Fleury, le duc de Morny. Quelle amusante parodie d'opposition dans le moment: Sacy aux D
Il est généralement convenu de repousser cette circonstance comme fausse. Cependant, quand je rapproche ce récit du départ précipité de madame Bertrand, exécuté sur un ordre de son mari, des sollicitations passionnées de monsieur de La Touche pour nous faire partir ce même jour, de la visite rapide et silencieuse de monsieur de Girardin
Morts! morts! s'écria Fernande. Les gars descendirent et transportèrent chacun des six Vendéens. Le souterrain avait-il donc été leur tombe? Peut être eût-il mieux valu pour eux mourir d'une balle comme Grandlieu et Girardin? Quand le souterrain fut vide, on put comprendre comment ce drame s'était passé.
La nouvelle assemblée était composée de diverses classes d'hommes. On y comptait des partisans éclairés de la première révolution, Ramond, Girardin, Vaublanc, Dumas, et autres, qui se nommèrent les constitutionnels, et occupèrent le côté droit, où ne se trouvait plus un seul des anciens privilégiés. Ainsi, par la marche naturelle et progressive de la révolution, le côté gauche de la première assemblée devait devenir le côté droit de la seconde. Après les constitutionnels, on y trouvait beaucoup d'hommes distingués, dont la révolution avait enflammé la tête et exagéré les désirs. Témoins des travaux de la constituante, et impatiens comme ceux qui regardent faire, ils avaient trouvé qu'on n'avait pas encore assez fait; ils n'osaient pas s'avouer républicains, parce que, de toutes parts, on se recommandait d'être fidèle
Fouquet était lui-même aussi tourmenté que les joueurs passionnés qui imploraient son secours. Il était obligé de répondre aux exigences de Mazarin, de payer les créanciers les plus pressés et de se créer sans cesse de nouvelles ressources. En même temps, il lui fallait veiller sur ses ennemis et entretenir partout des espions. Mener une vie de plaisirs et d'intrigues, au milieu des soucis des affaires et des préoccupations de la politique, tel fut le problème que le surintendant s'efforça de résoudre. Nous le voyons tantôt au milieu de ses commis, Gourville, Pellisson, Bruant, Girardin, chercher comment il fera face aux dépenses imminentes; puis, troublé par les avis souvent contradictoires qui lui arrivaient de tous côtés, reprenant son plan de résistance et de guerre civile. Enfin, tourmenté des longs entretiens de Louis XIV avec le cardinal mourant, il s'efforce d'en pénétrer le mystère et ne reçoit que des révélations incertaines, parfois même opposées, qui ajoutent
M. Saint-Marc Girardin écrivait, en 1838, dans un article publié par le Journal des Débats: Non, le congrès de Vérone n'a pas imposé
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