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Mis à jour: 29 juin 2025
Je suis ravi de ce sacrifice d'un moucheron. Qu'il tonne maintenant, le pauvre Zeus! Mais comment les hommes nous prendront-ils pour des dieux, et non pour des geais, nous qui volons et qui avons des ailes? PISTH
Le château, caché aux regards par deux mamelons et par des rideaux de grands frênes, n'est aperçu que par les corneilles et par les geais des collines élevées qui l'entourent; les petits bergers paissent leurs moutons dans les clairières nues des sommets.
«Le nouveau venu retourna voir, mais, n'y comprenant rien, il poussa un cri d'appel qui attira trois autres geais. Tous, réunis, procédèrent
Un bruit étrange, inexplicable, enroué, effrayant et risible, me préoccupait l'oreille depuis quelque temps; on eût dit une multitude de geais plumés vifs, d'enfants fouettés, de chats en amour, de scies s'agaçant les dents sur une pierre dure, de chaudrons râclés, de gonds de prison roulant sur la rouille et forcés de lâcher leur prisonnier; je croyais tout au moins que c'était une princesse égorgée par un négromant farouche; ce n'était rien qu'un char
Un pâle étang dormait au cercle étroit des saules, Les collines versaient le blé mûr comme un lait: Tes yeux où le désir naissait et se voilait Avaient l'azur aigu et condensé des pôles. Nous écoutions bruire, au bord des bois sans fond, Les cris épars, confus des geais, des pies-grièches, Le murmure inquiet et suspendu que font Les pas ronds des chevreuils froissant des feuilles sèches.
Tout le monde se couchait lorsque j'arrivai. Les pies et les geais, qui, comme on le sait, sont les plus mauvais coucheurs de la terre, se chamaillaient de tous les côtés. Dans les buissons piaillaient les moineaux, en piétinant les uns sur les autres. Au bord de l'eau marchaient gravement deux hérons, perchés sur leurs longues échasses; dans l'attitude de la méditation, Georges Dandins du lieu, attendant patiemment leurs femmes. D'énormes corbeaux,
Mets-toi voleur de grand chemin, tu gagneras ta vie. Qui n'aime, aux jours de la canicule dans les bois, lorsque les geais criards se disputent la ramée et l'ombre, un lit de mousse et la feuille
J'en prends aussi, rassura Philomen; sa poudre, en effet, n'est généralement pas mauvaise et, quand il s'agît de merles, de grives ou de geais que l'on tire de tout près, ça va toujours. C'est égal, j'aurais du remords de viser un lièvre avec une mauvaise cartouche dans mon flingot; s'il échappait, je ne pourrais m'empêcher de dire que c'est bien fait pour moi.
Le pays apparaissait dans toute sa beauté. «Les terres sont les plus belles que l'on puisse jamais voir; elles sont traversées par une infinité de belles et grandes rivières; elles sont couvertes de bois franc, comme chênes, ormes, noyers, de vignes d'une grosseur excessive; des prairies sans fin, les rivières couvertes de canards et d'oies sauvages; les arbres remplis d'oiseaux aux couleurs éclatantes, de perroquets, de geais, d'oiseaux-mouches de toutes sortes.»
Et voici, très abrégée, la «réplique» lamartinienne: L'air tiède et parfumé d'odeurs, d'exhalaisons, Semblait tomber, avec les célestes rayons, Encor tout imprégné d'âme et de sèves neuves, Comme l'air virginal qui vint fondre les fleuves Du globe enseveli dans son premier hiver, Quand la vie et l'amour se respiraient dans l'air... . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Et les herbes, les fleurs, les lianes des bois S'étendaient en tapis, s'arrondissaient en toits, S'entrelaçaient aux troncs, se suspendaient aux roches, Sortaient de terre en grappe, en dentelles, en cloches, Entravaient nos sentiers par des réseaux de fleurs, Et nos yeux éblouis dans des flots de couleurs. La sève, débordant d'abondance et de force, Coulait en gomme d'or des fentes de l'écorce, Suspendait aux rameaux des pampres étrangers, Des filets de feuillage et des tissus légers, Où les merles siffleurs, les geais, les tourterelles, En fuyant sous la feuille, embarrassaient leurs ailes; Alors tous ces réseaux, de leur vol secoués, Par leurs extrémités d'arbre en arbre noués, Tremblaient, et sur les pieds du tronc qui les appuie, De plumes et de fleurs répandaient une pluie... . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Chaque fois que nos pieds tombaient dans la verdure, Les herbes nous montaient jusques
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