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Mis à jour: 20 mai 2025
Causes d'intervention. Causes d'intervention que met et baille par devers vous Me Garguille, garde de la place de l'Isle du Palais,
Et puis c'est Jean Marot, père de Clément; Gringoire; Jean Le Houx, qui chanta le cidre... et aussi le vin; Vauquelin de La Fresnaye et son fils Vauquelin des Yvetaux; François de Malherbe, dont tant de stances furent mises en musique de son temps et depuis; Gaultier Garguille; le grand Corneille lui-même; Madeleine et Georges de Scudéry... Et, plus près de nous: Malfilâtre, Casimir Delavigne, Louis Bouilhet, Barbey d'Aurevilly, Guy de Maupassant... Enfin, nos contemporains: Charles Frémine, Eugène Le Mouel, Paul Harel le bon poète-aubergiste, Henri de Régnier, enfin Louis Beuve, qui écrit en patois ses chansons.
[Note 327: Les écrivains comiques et satyriques du temps, Sorel, Cyrano, Scarron, d'Assoucy, Boileau, Saint-Amant, Naudé dans le Mascurat, Tallemant, etc., etc., font souvent allusion aux chantres et poètes du Pont-Neuf, les hôtes quotidiens du Cheval de bronze. Dès le matin, on entendoit retentir les refrains, parmi les cris des marchands de libelles et de poésies, qui en étoient quelquefois les auteurs eux-mêmes. «Contraint par la nécessité, lit-on dans l'Histoire du poète Sibus (recueil en prose de Sercy, 2e v.), il alla encore sur le Pont-Neuf chanter quelques chansons qu'il avoit faites.» Maillet, le poète crotté, y heurtoit maître Guillaume, et le comte de Permission y coudoyoit le Savoyard. Celui-ci (de son vrai nom Philippot) étoit le plus célèbre de tous, et il chantoit, en bouffonnant et en se faisant accompagner de jeunes garçons, tantôt des chansons burlesques de Gautier Garguille, tantôt des siennes propres, qu'on a recueillies dans un volume curieux. D'Assoucy, dans ses Aventures (p. 247 et suiv.), donne d'intéressants détails sur ce personnage. V. également Dict. de Bayle, édit., 1741, t. 2, p. 249 N.C. La muse du Pont-Neuf embouchoit aussi quelquefois la trompette pour célébrer
Coppie de la requeste presentée au sieur Garguille de la part des hommes et maris dont les femmes ont esté scandalisées par les dits Caquets.
Pourquoi Cadiou ne serait-il pas une espèce de Marat et de Bonaparte en même temps? pourquoi n'aurait-il pas des instincts sublimes et misérables? Il faut voir ici les choses de plus haut que l'histoire écrite. Il y avait en France alors des milliers de Bonaparte, des milliers de Marat, des milliers de Hoche, des milliers de Robespierre et de Saint-Just, lequel, par parenthèse, était un fou aussi. Seulement ces types, plus ou moins réussis par la nature, et plus ou moins effacés parles événements, s'appelaient Cadiou, Motus ou Riallo ou Garguille, ils n'en existaient pas moins. Les idées et les passions qui remirent un peuple en émoi, une société en dissolution et en reconstruction, ne sont pas propres
Signé GROS-GUILLAUME. Sentence sur l'intervention. A tous ceux qui ces presentes lettres verront, Gautier Garguille, gentil-homme ordinaire de sa chambre et garde de la place de l'Isle du Palais,
Mondor, Tabarin et sa femme portent plainte devant Gautier Garguille; celui-ci fait faire une enquête par Gros-Guillaume, Jean Farine et La Vigne, autres farceurs de la même époque, qui demandent et obtiennent jugement contre le coupable. Cette pièce, des plus rares, est une nouvelle preuve du succès de vogue obtenu par l'auteur de ces satires, aussi mordantes que hardies.
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