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Mis à jour: 5 juin 2025
Le chef de police du quartier de Galata, entouré de gardes qui faisaient ranger le populaire, arrivait en ce moment sur la place. Un tambour et un trompette l'accompagnaient. L'un fit un roulement, l'autre un appel, et le silence s'établit peu
À neuf heures du soir, rentrant en caïque de Galata, j'entendis dans ma case un tapage inusité; il en sortait des chants et une musique originale.
On passa par Tchalaldjé, par Bayuk-Khan, sur la limite des pentes d'écoulement pour les tributaires de la mer de Marmara, par la vallée de Tchorlou, par le village de Yéni-Keui, puis par la vallée de Galata,
Enfin l'avouerai-je? Tandis que je gravissais les pentes de Galata pour aller prendre mes lettres
Yarhud, ou le capitaine de la Guïdare ne saurait plus son métier! Quel est l'homme que doit prochainement épouser la jeune Amasia? demanda Scarpante. Un jeune Turc, de même race qu'elle. Un Turc d'Odessa? Non, de Constantinople. Et il se nomme?... Ahmet. Qu'est-ce que cet Ahmet? Le neveu et l'unique héritier d'un riche négociant de Galata, le seigneur Kéraban. Que fait ce Kéraban?
Toutes ces seigneuries génoises devenaient autant de points d'appui pour les navigateurs; mais les colons de Galata s'emparèrent immédiatement d'une source abondante de profits. Les habitants de Constantinople devinrent leurs tributaires pour la plupart de leurs consommations, et tous spécialement pour leurs subsistances,
Nous passâmes Dolma-Bagtché, Sali-Bazar, Top-Hané, le bruyant quartier de Galata, et puis le pont de Stamboul, le triste Phanar et le noir Balate. A Eyoub enfin, dans une vieille rue turque, devant un Conak antique,
Au moment où Van Mitten et Bruno suivaient le quai de Top-Hané, du côté de ce premier pont de bateaux de la Validèh-Sultane, qui met Galata en communication avec l'antique Stamboul
Après qu’il eut regardé, il descendit donc vers ce quartier bas de Galata, toujours encombré d’une vile populace Levantine, qui est la partie de Constantinople la plus ulcérée par le perpétuel contact des paquebots, et par les gens qu’ils amènent, et par la pacotille moderne qu’ils vomissent sans trêve sur la ville des Khalifes.
Il va de soi que le seigneur Kéraban ne comptait point faire de cette façon le tour de la mer Noire. Il irait vite, soit! mais il irait confortablement. Ce ne serait qu'une question d'argent, et cette question n'était pas pour arrêter le riche négociant du faubourg de Galata.
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