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Non; mais il est évident que l'avis vient du duc de Montmorency ou du comte de Moret. Quelle livrée portait le page? Aucune. Mais j'ai cru le reconnaître pour celui que le duc avait conduit avec lui et qu'il nommait Galaor. Ce doit être cela. Eh bien? Votre avis, monsieur?

Et le chevalier, s'étant assuré par un dernier regard que Galaor ne manquait de rien, souhaita le bonsoir

Sans invitation, Galaor sauta en croupe derrière lui. Le comte, après s'être assuré que le page était bien assis, mit son cheval au trot; il descendit la rue Maubuée, puis la rue Trousse-vache, gagna la rue Saint-Honoré, et remonta la rue des Poulies.

Galaor, qui connaissait les localités, prit une vingtaine d'hommes pour cerner la cour; avec une vingtaine d'autres, Latil garda la porte, et avec pareil nombre le comte de Moret alla garder la seule fenêtre qui donnait jour dans la maison, et par laquelle ils pussent échapper. La fenêtre flamboyait, ce qui indiquait que les hôtes n'y manquaient point.

Isabelle, sous la garde de la dame de Coëtman et de Galaor, restant, en outre de ce côté de la frontière française, n'avait rien

Sur ce, le vieux Pardaillan sauta en selle et s'éloigna au trot rapide de Galaor. Bientôt, il arriva

Eh bien, allez prévenir Galaor, nous allons tenir les mules prêtes, nous n'aurons qu'

Galaor, de son côté, remettait avec l'insouciance de son âge son couteau de chasse au fourreau. Au bout de quelques instants,

Le cardinal fit défiler devant lui les quatre corps d'armée commandés par M. de Schomberg, M. de La Force, M. de Créquy et le duc de Montmorency. Au nombre des officiers se tenant près de lui se trouvait Latil. M. de Montmorency, comme toujours, menait grande suite de gentilshommes et de pages. Au nombre de ces pages était Galaor, coiffé d'un feutre

«Je me serais complétement moqué de ces vertueuses philippiques si elles n'avaient pas eu quelque réaction sur cette femme qui semble née pour mon malheur et que je ne puis néanmoins m'empêcher d'aimer plus follement que jamais. «Quand vous lirez ceci au fond de vos bruyères sauvages, vous vous demanderez, j'en suis sûr, si nous revenons au temps des Amadis et des Galaor.