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Mis à jour: 8 mai 2025
Malgré les vicissitudes des affaires publiques, l'opulence génoise devenait proverbiale et enviée par les étrangers et par les princes, qui ne dédaignaient aucun moyen d'en obtenir quelque part. Léon X, contre qui certains cardinaux avaient conspiré, en dégrada deux; il les condamna
Le territoire de la république resta tranquille et en sûreté6. La navigation génoise fut toujours libre et sans obstacles.
(1258-1264) Une dévotion si vive n'arrêtait pas la guerre acharnée entre Gênes et Venise. On expédiait en Syrie pour défendre ses établissements et pour ruiner ceux de l'ennemi. Une flotte génoise était parvenue
La noblesse Génoise sera admise, comme celle des autres parties de la Monarchie, aux grandes charges et emplois de Cour. Article II. Les militaires Génois, composant actuellement les troupes Génoises, seront incorporés dans les troupes Royales. Les officiers et sous-officiers conserveront leurs grades respectifs.
Pierre Doria allait prendre devant Venise le commandement suprême de la flotte génoise
Tortone. Souvenir de Frédéric Barberousse. Le château de Blaise d'Assereto. L'épée d'Alphonse le Magnanime. Bruges et Gênes. Les montagnards de l'Apennin. Saint Pierre d'Arena. Les maisons de campagne. Jacques Doria. Fêtes et banquets. Dîner de famille. Les belles Vénitiennes. Aspect de Gênes et de Damas. Les môles. Pourquoi Gênes est surnommée la Superbe. Caractère des Génois. Les trois classes d'habitants. Causes de la supériorité de la marine génoise. Une négociation délicate. Les galères
Les premiers pas de votre gouvernement justifient la confiance dont la nation génoise vous a investi. Les gouvernemens provisoires, placés dans des circonstances difficiles, doivent exclusivement prendre conseil du salut public et de l'intérêt de la patrie.
Le duc assemble des troupes sous des prétextes qui n'avaient rien d'hostile. Il forme une véritable armée vers la frontière génoise de la rivière occidentale. La république y porte son attention, mais il n'existait aucun sujet de querelle. Deux ans auparavant quelques difficultés s'étaient élevées sur la délimitation du territoire. Le roi de France avait aussitôt requis les deux parties de retirer les troupes qu'elles avaient mises en marche, et d'accepter l'intervention de son ambassadeur en Piémont, l'abbé de Servient3. La décision que celui-ci avait rendue, exécutée sans réclamation, ne semblait avoir laissé aucun lieu
Ces précautions étaient grandes et nobles, mais n'étaient pas nécessaires. La population de ces heureux climats se laissait aller au courant. Son plus vif sujet de mécontentement n'était pas assez sérieux pour être violent, car il consistait surtout dans le regret de faire partie du même gouvernement que les Piémontais, que les Génois ont toujours détestés. L'antique patriciat, ces vieilles et vénérables familles, qui, sous la république, avaient toujours dans leurs palais la porte ouverte et la table dressée pour la pauvreté, se croyait bien déchu du pouvoir, mais non pas du droit de bienfaisance; et la noblesse génoise se survivait en quelque sorte par ses bonnes actions. Elle venait d'en donner,
Les croisés, maîtres d'Antioche, avaient résisté aux horreurs de la famine et aux efforts de leurs ennemis. Une sanglante bataille, une victoire brillante avaient délivré la ville, ramené l'abondance aux dépens des vaincus, et enfin ouvert les chemins. Bohémond s'était fait adjuger la principauté d'Antioche contre les prétentions du comte de Toulouse. Au printemps, on avait marché. On était enfin parvenu sous les murs de Jérusalem et le siège avait commencé. Mais les opérations étaient lentes. On manquait de secours de toute espèce, surtout de machines de guerre. C'est avec une nouvelle joie qu'on apprit l'arrivée d'une autre flotte génoise entrée au port de Joppé. Une escorte demandée pour conduire au camp les provisions qu'elle apportait se fit jour jusqu'au rivage malgré les obstacles de la route; les croisés affamés partagèrent avec allégresse le vin, le pain, les grossières salaisons des marins. Les cargaisons furent débarquées; ou repartait, quand une flotte égyptienne vint de nuit surprendre le port et attaquer les Génois avec des forces irrésistibles. On eut le temps et le bonheur de mettre
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