United States or Bhutan ? Vote for the TOP Country of the Week !


La jeune femme ne vit que l'Amour parmi les roses: Il est charmant, et le jour le caresse. C'est bizarre, observait Maurice: nous devons être chez quelque amateur de monuments funéraires. En Italie, on ne redoute pas l'accumulation.

Elle n'aura ni les pâleurs funéraires des dames que l'on peut caractériser par l'apposition d'un nom de fleurs, soucis ou pensées; ni ce teint blanc et rougissant dont la vue trouble le sang dans nos veines, ni cette peau dorée comme la jeune vigne que chante le poëte de Rosina, et qui s'harmonise forcément avec la lèvre

Dans la mosquée sainte d'Eyoub, Abd-ul-Hamid est allé ceindre en grande pompe le sabre d'Othman. Après quoi, suivi d'un long et magnifique cortège, le sultan a traversé Stamboul dans toute sa longueur pour se rendre au palais du vieux sérail, faisant une pause et disant une prière, comme il est d'usage, dans les mosquées et les kiosques funéraires qui se trouvaient sur son chemin.

Chemin faisant, nous frôlons une nécropole kirghize. Le sol est éventré de trous, bosselé de buttes funéraires en argile battue, ou d'entassements de pierres. Les Kirghizes vénèrent leurs trépassés. Quand ils passent près d'un cimetière, ils ne manquent jamais de visiter les tombes de la famille, et d'y faire leurs prières. Si besoin est, ils s'arrêtent pour restaurer la sépulture.

Les petits événemens que je viens de raconter avaient presque disparu de ma mémoire, lorsqu'un jour en visitant, pendant une de mes relâches au Sénégal, le cimetière de Saint-Louis, il me prit envie de lire les inscriptions que l'on pouvait encore déchiffrer sur quelques croix funéraires, battues depuis long-temps par le vent, ou couchées pour la plupart sur le sable qui recouvrait les ossemens des infortunés moissonnés par les maladies de ce pays terrible. Il m'était souvent arrivé, dans les colonies, de parcourir les lieux l'on entasse les cadavres des pauvres Européens, pour avoir des nouvelles de ceux de mes amis dont je n'avais entendu parler depuis long-temps; et souvent aussi j'avais appris leur sort, en voyant leur nom écrit sur la fosse qui les avait pour toujours séparés du monde. Une sorte de pressentiment m'avait dit qu'en faisant une visite dans le cimetière de Saint-Louis, je rencontrerais l

De même que deux chevaux rapidement élancés, dans les jeux funéraires d'un guerrier, pour atteindre la borne et remporter un prix magnifique, soit un trépied, soit une femme; de même ils tournèrent trois fois, de leurs pieds rapides, autour de la ville de Priamos. Et tous les dieux les regardaient. Et voici que le père des dieux et des hommes parla ainsi:

Mém. sur la vie de Louise-Julienne de Nassau, Leyden, 1625, p. 18. Il n'existe aujourd'hui aucune trace de la sépulture de Charlotte de Bourbon dans la grande église d'Anvers, en d'autres termes, dans la cathédrale. Aucune mention n'en est même faite dans un volumineux ouvrage dont le tome Ier (Anvers, 1856, gr. in-4º) est intitulé: «Inscriptions funéraires et monumentales de la province d'AnversArrondissement d'Anvers.