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Il est trop bon; c'est une espèce de saint homme, quoique protestant!... Ah! ça! reprit-il, en élevant la voix, si nous fumions un cigare?... Volontiers! lança une voix qui leur fit

Cette apparition inattendue jeta d'abord un trouble dans mes idées, mais je me l'expliquais immédiatement par ce fait que la cave nous fumions du kif ne pouvait être que le sous sol d'un café, et me remémorant la configuration des lieux et la disposition des ruelles parcourues en compagnie du thaleb j'arrivais

Après le dîner, Robert et moi, étendus sur une couverture au pied d'un grand eucalyptus, fumions tranquillement en parlant de la France, de nos amis communs; et, ma foi, en nous rappelant nos jeunes années et ceux que nous avions connus et aimés, nous n'étions pas loin de nous attendrir; je jugeai utile de donner un autre tour

»Nous fumions et buvions déj

Puis, lorsque tout était terminé, nous allumions nos cigares, d'excellents «cherouts» de Manille, et nous fumions en causant de ce pays que Hod et Banks connaissaient

Vers les trois heures de l'après-midi, au moment nous fumions, couchés sur nos lits, dans de grandes chibouques turques, d'excellent tabac du Sinaï que nous avait donné Gargallo, le capitaine nous appela. Comme nous savions qu'il ne nous dérangeait jamais

Un soir, après souper, comme nous fumions le serraglio sous nos treilles embaumées de Sainte-Marguerite, l'abbé Panorio nous parlait de lui-même, et nous disait les poétiques élans et les combats héroïques de son propre coeur avec une candeur respectable et touchante.

Quelles longues et tristes journées que ces journées de pluie de l'année 1867! Notre argent était devenu alors très-rare, et toute communication avec Massowah, Metemma et Debra-Tabor était complètement interrompue. On parlait plus sérieusement de guerre dans le home, et sans nouvelle de nos amis, nous étions dans l'anxiété et très-désireux de connaître ce qui serait décidé. L'hiver ne nous permit pas de jardiner et nos autres occupations étaient insignifiantes. Nous écrivions (tâche plus facile pendant la pluie, les gardes se tenant dans leurs huttes); nous étudiions l'amharie, nous lisions le fameux Dictionnaire commercial, ou bien nous visitions l'un des nôtres, et fumions du mauvais tabac, simplement pour tuer le temps. M. Rosenthal, très-savant en linguistique, pourvu d'une Bible italienne, tantôt étudiait cette langue, tantôt chassait l'ennui si lourd, en apprenant, dans ses soirées, le français an moyen d'un fragment de l'Histoire de la civilisation par M. Guizot. Si le ciel s'éclaircissait un peu, nous allions patauger quelques instants dans la boue sur le petit chemin laissé entre nos nouvelles huttes; mais au bout de quelques instants nous étions arrêtés subitement par un: «Le ras et les chefs arriventSi nous pouvions courir, nous le faisions; mais si nous étions aperçus, nous prenions notre plus gracieux sourire et nous étions salués par un grossier: «Comment vas-tu? Bonne après-midi pour toi!» (la seconde personne du singulier est employée comme signe d'humiliation vis-