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Buguet fit un brin de toilette, mit ses souliers ferrés pour patauger dans la terre des vignes: Me voil

La mélancolie automnale devançait l'appel des déclins et d'involontaires moqueries s'attachaient aux pauvres diables que, de notre croisée, nous voyions patauger en des lacs que de nouvelles poussées de pluies couvraient de petits champignons d'argent semblant pousser tout seuls.

Nous ne répondions pas et nous laissions le personnage patauger dans sa «délicatesse». «Messieurs, reprit-il, il n'est pas discutable que les torts ne soient du côté du capitaine Mac Elwin.

Mais toi, Michel, que comptes-tu faire? Rien du tout. Je vais les laisser patauger et mentir tant qu'ils voudront. Au dernier moment, je les prendrai dans leur propre filet. En attendant tu vas te faire nommer député? Peut-être. Et la belle Hyacinthe est complice? Ça, mon ami, c'est un secret entre elle et moi. Et la piété filiale, qu'en faites-vous?

En ce moment, inoccupé, Athanase regardait, sur le seuil de la porte, les gens patauger dans la boue, prenant grande joie

A Paris, cela eut été tout seul, avec un souffleur connaissant son métier, mais dans cette bonne ville, l'employé chargé de secourir les mémoires troublées heureux de voir l'artiste parisien patauger, lui chuchote au lieu de la phrase si anxieusement attendue: Hein? vous ne faites pas le malin, maintenant! comme en 70 ... devant les Versaillais!

Après quelques pas, le couloir formant un coude brusque, le torrent se jette violemment contre la paroi de rochers, nous coupant la route. Force nous est alors de faire un plongeon dans l'eau, et d'y patauger avec l'aléa d'une noyade.

Volontiers, cher ami; attends-moi, je vais mettre des galoches. Mais voyez donc, dit ma soeur aînée, ces deux fous; ils sont capables d'aller, comme ils le disent, patauger dans la campagne par un pareil temps

Et finalement, se tournant vers Rodin qui, de son oeil mauvais et narquois, le regardait patauger, il dit: N'est-ce pas votre avis, docteur Rodin? Rodin s'inclina. La médecine est vraiment inutile ici, fit-il, du moins pour guérir. Au chevet de M. Surgère, elle n'aura plus désormais qu'

Quelles longues et tristes journées que ces journées de pluie de l'année 1867! Notre argent était devenu alors très-rare, et toute communication avec Massowah, Metemma et Debra-Tabor était complètement interrompue. On parlait plus sérieusement de guerre dans le home, et sans nouvelle de nos amis, nous étions dans l'anxiété et très-désireux de connaître ce qui serait décidé. L'hiver ne nous permit pas de jardiner et nos autres occupations étaient insignifiantes. Nous écrivions (tâche plus facile pendant la pluie, les gardes se tenant dans leurs huttes); nous étudiions l'amharie, nous lisions le fameux Dictionnaire commercial, ou bien nous visitions l'un des nôtres, et fumions du mauvais tabac, simplement pour tuer le temps. M. Rosenthal, très-savant en linguistique, pourvu d'une Bible italienne, tantôt étudiait cette langue, tantôt chassait l'ennui si lourd, en apprenant, dans ses soirées, le français an moyen d'un fragment de l'Histoire de la civilisation par M. Guizot. Si le ciel s'éclaircissait un peu, nous allions patauger quelques instants dans la boue sur le petit chemin laissé entre nos nouvelles huttes; mais au bout de quelques instants nous étions arrêtés subitement par un: «Le ras et les chefs arriventSi nous pouvions courir, nous le faisions; mais si nous étions aperçus, nous prenions notre plus gracieux sourire et nous étions salués par un grossier: «Comment vas-tu? Bonne après-midi pour toi!» (la seconde personne du singulier est employée comme signe d'humiliation vis-