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Mis à jour: 16 juin 2025
M. Froude avoue le martyre de l'Irlande, mais il regrette que le martyre n'ait point été poussé jusqu'au bout. Le reproche, qu'il fait au bourreau, n'est point d'exercer son métier, mais de le bousiller. Il ne reproche point
Quelques-uns d'entre eux expriment les vues personnelles de M. Froude, les autres sont entièrement dramatiques, introduits pour marquer les traits caractéristiques. Nous en reproduisons quelques spécimens. En tant qu'épigrammes, ils ne sont pas très heureux, mais
Mais si le livre de M. Froude n'a point de relation pratique avec la politique irlandaise moderne et ne présente point de solution de la question présente, il a une certaine valeur historique. C'est un vivant tableau de l'Irlande dans la dernière moitié du dix-huitième siècle, tableau où les lumières sont souvent fausses, les ombres exagérées, mais ce n'en est pas moins un tableau.
Ainsi que nous l'avons dit, si M. Froude se proposait par son livre d'aider le gouvernement Tory
The Early Life of Thomas Carlyle, by J. A. FROUDE. The Nineteenth Century. July, 1881. § 3.
Naturellement il y a une histoire dans le roman de M. Froude. Ce n'est pas une simple thèse politique. L'intérêt du récit, tel quel, se concentre autour de deux hommes, le Colonel Goring et Morty Sullivan, l'homme de Cromwell et le Celte. Ces deux hommes sont ennemis par la race, par la religion, par le sentiment.
Le premier représente le remède de M. Froude pour l'Irlande. Il est résolument anglais, avec de fortes tendances non-conformistes. Il établit une colonie industrielle sur la côte de Kerry, et il a des objections profondément enracinées contre le commerce de contrebande avec la France, qui, au siècle dernier, était le seul moyen qu'eut le peuple irlandais pour payer ses fermages
Le résumé, que M. Froude écrit de l'histoire de l'Irlande, ne manque pas de force, bien qu'il soit fort éloigné de l'exactitude. «L'Irlandais, nous dit-il, a répudié les réalités de la vie, et les réalités de la vie se sont montrées les plus fortes». Les Anglais, incapables de tolérer l'anarchie aussi près de leurs côtes, ont consulté le Pape.
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