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Mis à jour: 11 mai 2025


Marie-Louise était enfin venue au mois de juillet passer quelques jours auprès de son père et de son fils. C'était le moment Napoléon, contraint par l'Angleterre de se séparer du docteur O'Méara, lui donnait un mot d'introduction auprès de sa femme, et le rédigeait ainsi: «S'il voit ma bonne Louise, je la prie de lui permettre qu'il lui baise les mainsPuis il ajoutait de vive voix: «Si vous voyez mon fils, embrassez-le pour moiEt répétant le conseil qu'il ne se lassait jamais de donner: «Qu'il n'oublie jamais qu'il est prince françaisSa dernière recommandation était celle-ci: «Faites tous vos efforts pour m'envoyer des renseignements authentiques sur la manière dont mon fils est élevéO'Méara n'était pas encore parti que l'Autriche imposait un nouveau nom au fils de Napoléon. Le 22 juillet, par quatre patentes impériales, François II, empereur d'Autriche, roi de Jérusalem, de Hongrie, de Bohême et autres lieux, déclarait se trouver, par suite de l'Acte du Congrès de Vienne et des négociations avec ses hauts alliés, dans le cas de déterminer le titre, les armes, le rang et les rapports personnels du prince François-Charles-Joseph, fils de sa bien-aimée fille Marie-Louise, archiduchesse d'Autriche, duchesse de Parme, Plaisance et Guastalla. L'Empereur lui donnait donc le titre de «duc de Reichstadt» avec celui d'Altesse Sérénissime. Il lui permettait de se servir d'armoiries particulières, savoir: de gueule

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