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Mis à jour: 8 mai 2025
Sur ces mots, chacun se leva pour la promenade. Il n'était personne qui ne fût ému. Frantz et Carolina avaient sans doute
C'est un bien intelligent animal, dit l'oncle Frantz; il est, dit-on, plus intelligent encore que le cheval, dont il tient lieu dans les pays chauds. Ses ailes sont impropres au vol, mais elle les étend comme des bras quand elle court. Elle vit en Afrique et en Asie. Elle est si vorace qu'elle avale sans danger tout ce qui se présente, bois, pierres, aiguilles, clous.
Puis, tous deux, marchant l'un près de l'autre reprirent le chemin de la maison, sans échanger une parole, aussi muets que leurs ombres, qui s'allongeaient devant eux. Suzel se voyait grande, grande, sous les rayons obliques du soleil couchant. Frantz paraissait maigre, maigre, comme la longue ligne qu'il tenait
Oh! dit Julien, faut-il qu'il y ait des rues dans ce Paris!.. Est-ce qu'on les éclaire toutes quand vient le soir? Certainement, dit l'oncle Frantz; ce n'est plus comme autrefois, où les rues du vieux Paris n'étaient point éclairées. Chaque soir trente mille becs de gaz s'allument, les magasins s'illuminent et toutes les voitures passent avec des lanternes brillantes.
Après les chagrins que Frantz Volden venait d'éprouver, il se sentit tout heureux d'avoir auprès de lui ces deux enfants. La sagesse et le courage d'André l'émerveillaient et le réconfortaient, la vivacité et la tendresse de Julien le mettaient en joie. L'enfant depuis bien longtemps n'avait été aussi gai. Quand il marchait dans les rues de Bordeaux ou sur la grande place des Quinconces, tenant son oncle par la main, il se dressait de toute sa petite taille, il regardait les autres enfants avec une sorte de fierté naïve, pensant en lui-même: Et moi aussi j'ai un oncle, un second père, j'ai une famille! Et nous allons travailler tous
Frantz, ordonne aux postillons de retourner et de gagner Charenton par un autre chemin... quel qu'il soit... dit Rodolphe. Monseigneur, il est trop tard... nous voil
Un peu plus d'un an après qu'il eut pris sa retraite, éclata l'«Affaire des poisons». Le 21 novembre 1679, la principale accusée, la Voisin, déclara que la Du Parc, dont elle était la bonne amie depuis quatorze ans, «devait» avoir été empoisonnée par Racine. Voici d'ailleurs, sur ce point, la partie essentielle de l'interrogatoire de la Voisin, d'après le procès-verbal (Frantz Funck-Brentano: le Drame des poisons): De Gorle (belle-mère de la Du Parc) lui a dit (
Allons, Julien, dit l'oncle Frantz, tu lis avec profit, mon enfant, puisque tu comprends bien tes lectures. Tâche de ne pas les oublier
On quitta les Halles et on se dirigea vers la Cité, qui est une île formée par la Seine au milieu de Paris. Pour s'y rendre on traversa la Seine sur l'un des vingt-deux ponts que Paris possède. Au milieu, Frantz fit arrêter les enfants.
Eh bien, non, fit-elle toute penaude en me regardant. Il n'y a pas eu de noces. Puisque cette pauvre folle s'était mis dans la tête mille folies qu'elle nous a expliquées. C'était une des filles d'un pauvre tisserand. Elle était persuadée que tant de bonheur était impossible, que le jeune homme était trop jeune pour elle; que toutes les merveilles qu'il lui décrivait étaient imaginaires, et lorsqu'enfin Frantz est venu la chercher, Valentine a pris peur. Il se promenait avec elle et sa soeur dans le jardin de l'Archevêché
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