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Mis à jour: 21 octobre 2025


Fils contre père... guerre parricide! J'étais arrivé sain et sauf jusqu'aux limites de la Bretagne; le résultat du combat m'importait peu, pourvu qu'il y eût beaucoup de Franks exterminés de part et d'autre; mon seul but était de me rendre ici. Le hasard me fit rencontrer près de Nantes deux Bretons de Vannes, qui, lors de la joyeuse vendange

Ils devaient imiter le patriotique héroïsme des Druides, qu'ils ont fait périr jusqu'au dernier dans les supplices!... Oui, la croix d'une main, l'étendard gaulois de l'autre, les évêques, au lieu de prêcher une guerre de religion et de pillage contre les ariens, devaient prêcher la guerre nationale contre les Franks, la guerre de l'indépendance, cette guerre sainte, trois fois sainte, du Peuple qui défend son foyer, sa famille, son pays et son Dieu!... Que pouvaient faire les évêques?... Appeler aux armes la vieille Gaule au nom de la Patrie et de la Foi chrétienne menacées par les barbares!...

Et sans tes lenteurs, ces ordres depuis longtemps seraient exécutés! A moi, mes guerriers... garrottez ce vieux moine, et exterminez cette plèbe si elle bronche! A moi, mes enfants! assommez ces Franks! et vive la vieille Gaule!

C'étaient des joueurs de harpe, des chanteurs ambulants, et quelquefois les poëtes eux-mêmes, qui étaient entre les différentes nations les intermédiaires de ces échanges. Deux tribus voulaient-elles troquer leurs poëmes, elles troquaient leurs chanteurs. Nous pouvons lire encore dans le recueil de Cassiodore une lettre par laquelle Théodoric, qui devait être bientôt lui-même un personnage traditionnel si célèbre, envoyait au roi des Franks Clovis un joueur de harpe que celui-ci lui avait demandé. «Nous avons choisi pour vous l'envoyer, lui écrivait-il, un musicien consommé dans son art, qui, chantant

Oui, oui, va-t'en d'ici, archidiacre du diable! dirent plusieurs voix, ne trouble pas plus longtemps notre fête! tu pourrais t'en repentir. Une rébellion! des menaces! s'écria l'archidiacre. Gondowald, ajouta le prêtre en s'effaçant, pour laisser pénétrer dans l'intérieur de la cour le chef des guerriers franks, vous savez les ordres de la reine...

« J'écouterai ta voix, saint évêque, je bénirai les Franks, divins instruments de mon salut, je chérirai les épreuves qu'ils me font subir par votre volonté, ô mon doux Seigneur! merci donc, Dieu souverainement juste et bon! merci! faites, s'il vous plaît, qu'il en soit ainsi de ma descendance

À cette plaisante idée du comte, les Franks applaudirent par des cris et des rires sauvages; le vieux Gaulois trembla de tous ses membres, regarda Neroweg d'un air suppliant et murmura: Seigneur... mes genoux sont nus et le flambeau est ardent. Eh! vieille brute... crois-tu que je t'ordonnerais d'éteindre cette torche entre tes genoux s'ils étaient couverts de jambards de fer?

Autrefois j'étais jeune, riche, heureux; les Franks ont envahi la Touraine, mon pays natal; ils ont égorgé ma femme après l'avoir violée; ils ont brisé sur les murailles la tête de ma petite fille; ils ont pillé ma maison; ils m'ont vendu comme esclave, et de maître en maître, je suis tombé entre les mains de Cautin... J'ai donc sujet d'exécrer les Franks; mais j'exècre, s'il se peut, davantage encore les évêques gaulois, qui nous tiennent, nous Gaulois, en esclavage!

Victoria et son fils m'ont ordonné d'aller au camp des Franks; j'y vais!

Ce morceau, qui forme l'introduction des aventures de Walter, et qui met en scène les quatre personnages principaux du poëme, est peu historique assurément, en ce sens que les actes qu'il prête au roi des Huns ne peuvent point avoir été accomplis comme il les raconte; toutefois il est historique en tant que reflet des impressions contemporaines. Rien n'empêche même que les relations qu'il suppose entre les Huns d'un côté, les Franks et les Burgondes de l'autre, ces soumissions volontaires, ces offres empressées d'otages, n'aient eu lieu au del

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marie-chesse

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