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Rien ne vint plus troubler leur vie morne. Le baron, sa femme et le vicomte firent une visite aux Fourville que Julien semblait déj

Elle parlait avec une aisance infinie, familière et distinguée. Jeanne fut séduite et l'adora tout de suite. «Voici une amie», pensa-t-elle. Le comte de Fourville, au contraire, semblait un ours entré dans un salon.

Le maire, le docteur et le curé venaient dîner de temps en temps; de temps en temps c'étaient les Fourville, avec qui on se liait de plus en plus.

Et il repartit en saluant gravement les dames. Tante Lison et la comtesse Gilberte restèrent seules auprès de Jeanne pendant que s'accomplissait la cérémonie funèbre. La comtesse l'embrassait sans cesse en répétant: Ma pauvre chérie, ma pauvre chérie! Quand le comte de Fourville revint chercher sa femme, il pleurait lui-même comme s'il avait perdu sa propre mère.

Or Jeanne, un après-midi, lisait auprès du feu par un grand coup de vent (c'était au commencement de mai), quand elle aperçut soudain le comte de Fourville qui s'en venait

Quand les Malandain furent rentrés dans leur chaumière, la dernière du hameau de la Sablière, sur la route de Fourville, le père, un vieux petit paysan sec et ridé, s'assit devant la table, pendant que sa femme décrochait la marmite et que sa fille Adélaïde prenait dans le buffet les verres et les assiettes, et il dit: «Ça s'rait p't'être bon, c'te place chez maîtr' Omont, vu que le v'l

Il rencontra, en rentrant, son jardinier et lui cria: Eh bien? L'homme n'osait pas répondre. Alors, M. de Fourville hurlant presque: Est-elle morte? Et le serviteur balbutia: Oui, monsieur le comte. Il ressentit un soulagement immense. Un calme brusque entra dans son sang et dans ses muscles vibrants; et il monta d'un pas ferme les marches de son grand perron.

Trois familles seulement se trouvaient dans un rayon assez rapproché: le marquis de Coutelier, une sorte de chef de l'aristocratie normande; le vicomte et la vicomtesse de Briseville, des gens d'excellente race, mais se tenant assez isolés; enfin le comte de Fourville, sorte de croque-mitaine, qui passait pour faire mourir sa femme de chagrin et qui vivait en chasseur dans son château de la Vrillette, bâti sur un étang.

Le ministère que je remplis m'ordonne de ne pas vous laisser ignorer ce que vous pouvez empêcher. Sachez donc que votre mari entretient une amitié criminelle avec Mme de Fourville. Elle baissa la tête, résignée et sans force. Le prêtre reprit: Que comptez-vous faire, maintenant? Alors elle balbutia: Que voulez-vous que je fasse, monsieur l'abbé?

Il allait maintenant presque chaque jour chez les Fourville, chassant avec le mari qui ne pouvait plus se passer de lui, et montant