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Mis à jour: 22 octobre 2025


Oh! je sais qu'autrefois on admettait des milliers de degrés pour les espaces situés en dehors de l'atmosphère; mais, après les expériences d'un savant français, Fourrier, il a fallu en rabattre; il a prouvé que si la terre se trouvait placée dans un milieu dénué de toute chaleur, l'intensité du froid que nous observons au pôle serait bien autrement considérable, et qu'entre la nuit et le jour il existerait de formidables différences de température; donc, mes amis, il ne fait pas plus froid

«C'était de la part du fourrier, écrit-il

Aux deux bouts de la table il y avait deux autres tabourets, l'un pour le commissaire-auditeur qui était un fourrier, l'autre pour le greffier qui était un caporal.

Parmi les Français qui s'étaient adossés au flanc gauche de ma jument, se trouvait un fourrier que je connaissais pour l'avoir vu souvent chez le maréchal, dont il copiait les états de situation. Cet homme, attaqué et blessé par plusieurs grenadiers ennemis, tomba sous le ventre de Lisette et saisissait ma jambe pour tâcher de se relever, lorsqu'un grenadier russe, dont l'ivresse rendait les pas fort incertains, ayant voulu l'achever en lui perçant la poitrine, perdit l'équilibre, et la pointe de sa baïonnette mal dirigée vint s'égarer dans mon manteau gonflé par le vent. Le Russe, voyant que je ne tombais pas, laissa le fourrier pour me porter une infinité de coups d'abord inutiles, mais dont l'un, m'atteignant enfin, traversa mon bras gauche, dont je sentis avec un plaisir affreux couler le sang tout chaud... Le grenadier russe, redoublant de fureur, me portait encore un coup, lorsque la force qu'il y mit le faisant trébucher, sa baïonnette s'enfonça dans la cuisse de ma jument, qui, rendue par la douleur

A ce moment je m'en souviens un capitaine d'état-major nous croisa sur la route: mon air de jeunesse le frappa sans doute et aussi tout le sang qui dégouttait de ma manche sur mon pantalon garance, qu'il maculait de larges taches vineuses: «Du courage, fourrierme dit-il affectueusement au passage. Sans forfanterie, je pus lui répondre que cela ne manquait pas, car pour lui parler je m'interrompis de fredonner le refrain de la retraite qui s'arrangeait dans ma tête

Fourrier, me dit-il en me passant la proclamation, lisez pour moi. J'achevai cette lecture d'une voix nerveuse que l'émotion faisait trembler un peu. Il y eut un frisson dans les rangs. J'avais chaud dans la poitrine.

Quoi! mes chères paperasses, jadis peut-être trop fidèles, se sauver ainsi! Pouah! quelle ingratitude! Mon fourrier ne prend pas le temps de s'attendrir. Il est bien plus pratique. Il charge en tous sens comme un enragé. Tantôt, s'abattant avec la rapidité de la foudre, il saisit avidement une feuille de prêt en fuite; tantôt, bondissant comme un tigre, il accroche au vol un ingrat bon de vivres.

Un peu plus avant, j'aperçus un individu ayant sur les épaules une peau de mouton et marchant péniblement, appuyé sur son fusil. Lorsque je fus près de lui, je le reconnus pour le fourrier de notre compagnie. En me voyant, il jeta un cri de surprise et de joie, car on lui avait assuré que j'étais resté prisonnier

Un fourrier entonne un air de garnison, tous au refrain! Je m'en mêle, et ma voix criarde se mêle

Du reste, il a eu soin de me faire prévenir par le fourrier qui m'a annoncé ma punition: «Dites-lui bien que ce n'est pas moi qui le punis, c'est le règlement. Le général m'a recommandé d'être très sévère et, ma foi, vous comprenez... c'est leur faute aussi, s'ils se font punir, ces gredins-l

Mot du Jour

tieni

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