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Mis à jour: 6 juin 2025
C'est d'Yves que nous parlions, cela va bien sans dire. Elle m'interrogeait anxieusement sur lui, sur son avenir, pensant que je connaissais plus profondément qu'elle ce mari qu'elle adorait avec une espèce de crainte, sans le comprendre. Et moi, je la rassurais, car j'espérais beaucoup: le forban avait pour lui son bon et brave coeur; alors, en le prenant par l
Je continuai ma route après le départ de ce forban d'une nouvelle espèce, en réfléchissant au péril que, sans trop le savoir peut-être, courait ce pauvre diable qui croyait gagner sa vie honnêtement en pillant les navires qu'il rencontrait sur son chemin et si près des croiseurs.
L'après-midi du même jour, Yves est dans ma chambre, qui se dépêche, qui se dépêche avant la nuit de remettre des galons sur ses manches, toujours drôle, avec son grand air de forban, quand il est occupé
Pascalon lui expliqua comment leur ennemi, rencontré et recueilli en mer par le Tomahawk dans un canot où il mourait de faim et de soif, avait traîtreusement signalé la présence d'une colonie provençale sur territoire anglais, et guidé le navire jusque dans la rade de Port-Tarascon. Les yeux du Gouverneur étincelèrent «Ah! le gueux!... Ah! le forban!...»
Oh! combien j'aurais craint de perdre mon pauvre épagneul! C'était ça un véritable ami! Je viens de retracer un caractère de marin que je n'ai rencontré qu'une seule fois dans ma vie. III. TOUTES-NATIONS, ou LE PETIT FORBAN. Historiette de mer. Un capitaine de navire du commerce m'a raconté l'aventure qu'on va lire.
Interrogez-le dit le commandant et vous, commissaire, écrivez ses réponses, car heureusement voici le lieutenant Pleyston qui nous servira d'interprète. Le petit commissaire prépara sa plume, et demanda trois fois si le monstre était solidement attaché. L'interrogatoire commença.... Tu dois reconnaître, misérable forban, ce matelot que tu as si cruellement jeté
Comment se nomme ta barque en dérive? demande ironiquement d'une voix de Stentor le commandant du corsaire. Quel est ton nom, écumeur de mer? lui répond le capitaine anglais. Je te ferai savoir le mien après. Mon nom? hurle alors le forban. Attends un peu, tu vas le savoir, si tu sais lire!
Non, je ne me trompe pardieu pas, ses huniers montent sur leurs drisses; il guinde ses mâts de perroquets! Ah Dieu tout puissant, si c'était un forban,
À cette heure où le ministère, soutenu par la richesse et cher maintenant aux simples, semblait inébranlable, Hippolyte Cérès, éclairé par la haine, voyait seul le danger, et, contemplant son rival avec une joie sombre, murmurait entre ses dents: «Il est foutu, le forban!»
«Ah! misérable forban! s'écria le commandant anglais, après avoir essuyé une aussi cruelle mortification; si jamais je te rencontre!...» Il le rencontra, mais sans pouvoir mettre
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