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Mis à jour: 16 juin 2025
Mais Hector Caraffa, avec cet enthousiasme méridional qui faisait encore ressortir la tranquillité de son âme, levant sa torche comme pour défier la foudre: Gronde, tonnerre! flamboie, éclair! rugis tempête! s'écria-t-il.
L'autre dit: Aux beaux jours, La table où rit l'ivresse et que le vin encombre, C'était moi. L'autre dit: J'étais le chevet sombre Du lit de tes amours. Allez, vivants! riez, chantez; le jour flamboie. Laissez derrière vous, derrière votre joie Sans nuage et sans pli, Derrière la fanfare et le bal qui s'élance, Tous ces morts qu'enfouit dans la fosse silence Le fossoyeur oubli! Tous y viendront.
Le soir, de loin, il semble qu'un immense incendie flamboie dans la vallée, et le passant attardé, qui chemine sur les côteaux, croit voir voltiger dans les flammes le poussah de la porcelaine, celui qui, autrefois ouvrier de King-te-Tchin n'ayant pu réussir un modèle proposé par l'empereur, se précipita dans la fournaise et s'y transforma en un vase merveilleux qui avait «la couleur du ciel après la pluie, la clarté d'un miroir, la finesse d'une feuille de bambou et la résonnance d'un gong.»
Les dalmatiques d'or qu'arrête un lourd fermail, Les yeux illuminés de mystère et de joie, Les fronts auréolés et les chairs du vitrail, Topazes et grenats où le soleil flamboie C'est vers ce rêve, ayant dépassé le portail, qu'elle s'avance, lente et riante.
Pauvres gens! quoique la distance Ne soit pas grande, ils sont bien las; Mais, dans leur rêve d'espérance, Ils ne s'en aperçoivent pas. Oh! comme l'église flamboie! Oh! tant de cierges sur l'autel! Oh! Les beaux cantiques de joie! L'encens fume... Noël! Noël! Le chant, le parfum, la lumière Mettent en leurs coeurs éblouis Une allégresse avant-courrière Des liesses du Paradis.
L'orgueil des étendards coiffés d'alérions Vaguement remue et flamboie; Un bas relief se creuse et se déploie Où le granit se crispe en mufles de lions. Un bruit de pas guerriers multiplié s'entend Derrière un grand rideau livide: Un trône est l
Oh! ce serait vraiment un mystère sublime Que ce ciel si profond, si lumineux, si beau, Qui flamboie
Je sais que ton coeur, qui regorge De vieux amours déracinés, Flamboie encor comme une forge, Et que tu couves sous ta gorge Un peu de l'orgueil des damnés; Mais tant, ma chère, que tes rêves N'auront pas reflété l'Enfer, Et qu'en un cauchemar sans trêves, Songeant de poisons et de glaives, Eprise de poudre et de fer,
Mot du Jour
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