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Après ces visites, le prince Louis, les ministres, l'archichancelier et l'architrésorier, le cardinal Fesch et les grands officiers qui se trouvaient

De son côté, et sans se lasser, Caulaincourt continuait ses communications. Le 8 avril, il informait le cardinal Fesch que l'Empereur le nommait ambassadeur près le Saint-Siège. Il lui résumait ainsi la nouvelle politique de son maître: «Assagi par les événements, mais se croyant toutefois encore en mesure de parler haut

La mère de l'empereur était partie d'Orléans pour Rome avec son frère, le cardinal Fesch; le roi Louis suivit sa mère; le roi de Westphalie se rendit en Styrie; le prince Joseph alla en Suisse; les soeurs de l'empereur se retirèrent également en pays étranger. Il est temps de revenir

Cette remarque est d'autant plus vraie que le cardinal Fesch,

«On tire plusieurs conséquences de ces suppositions, et la première qui se présente, c'est que le pape abdiquera, et que le cardinal Fesch ou le cardinal Ruffo occupera le trône pontifical.

M. le cardinal Fesch ne gardait pas plus de retenue avec le pauvre abbé Guillon (l'évêque du Maroc): il était signalé comme un agent de la Russie. Bonaparte traitait M. Lainé d'agent de l'Angleterre: c'étaient l

Le concile avait été convoqué pour le 9 juin 1811; mais, sous le prétexte du baptême du roi de Rome, fils de Napoléon, il ne tint sa séance d'ouverture que le 17 juin, dans l'église de Notre-Dame. M. de Boulogne , évêque de Troyes, prêcha le sermon. L'assemblée comptait quatre-vingt-quinze évêques (six étaient cardinaux) et neuf évêques nommés par l'empereur, mais qui n'avaient pas reçu leur institution du pape. Le cardinal Fesch, comme nous l'avons dit, prit d'emblée la présidence que personne ne lui contesta, et, dans l'énumération de ses titres, celui de primat des Gaules, qui lui revenait de droit en sa qualité d'archevêque de Lyon. On verra plus loin, pourquoi nous faisons mention de cette particularité. Après le sermon, le président prêta le serment d'usage, que tous les évêques répétèrent après lui, et qui est conçu dans les termes suivants: «Je reconnais la sainte

Cependant, de nouveaux démêlés avec le pape compliquaient la position de la France. Napoléon s'adressait alors au cardinal Fesch. C'était un prêtre zélé, et tout bouillant d'une vivacité italienne: il défendait les droits ultramontains avec une ardente opiniâtreté; et telle était la chaleur de ses discussions avec l'empereur, que, dans une occasion précédente, celui-ci, tout irrité, s'était emporté jusqu'

Fesch, devenu cardinal, avait repris avec ardeur les sentiments propres aux gens d'

[Note 284: Joseph Fesch,