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Mis à jour: 1 octobre 2025
Cette fois Fedka le laissa aller seul; il se traînait sur le sol boueux pour chercher les assignats tombés dans les flaques d'eau, et, pendant une heure encore, on put l'entendre proférer au milieu de l'obscurité son petit cri: «Eh! eh!»
«Je soussigné, Alexis Kiriloff, commença d'une voix ferme et impérieuse Pierre Stépanovitch; en même temps, penché sur l'épaule de l'ingénieur, il suivait des yeux chaque lettre que celui-ci traçait d'une main frémissante, je soussigné, Alexis Kiriloff, déclare qu'aujourd'hui, octobre, entre sept et huit heures du soir, j'ai assassiné dans le parc l'étudiant Chatoff comme traître et auteur d'une dénonciation au sujet des proclamations et de Fedka, lequel a logé pendant dix jours chez nous, dans la maison Philippoff. Moi-même aujourd'hui je me brûle la cervelle, non que je me repente ou que j'aie peur de vous, mais parce que, déj
J'ai seulement voulu vous édifier, voyant combien vous étiez sensible au sort de Lébiadkine, répéta Pierre Stépanovitch; ainsi, messieurs, continua-t-il après avoir repris la lettre, un Fedka, sans s'en douter, nous débarrasse d'un homme dangereux. Voil
Attends, je vais te garrotter! dit Nicolas Vsévolodovitch en se retournant vers Fedka d'un air menaçant. Oh! monsieur, vous n'aurez pas le courage de faire du mal
Vous vous êtes trompé et vous avez fait une sottise en même temps qu'un acte d'indiscipline. Quant au meurtre, c'est l'oeuvre de Fedka, et il a agi seul, dans un but de pillage. Vous avez entendu raconter des histoires et vous les avez crues. La peur vous a pris. Stavroguine n'est pas si bête, et la preuve, c'est qu'il est parti
Et avez-vous vu ce que Fedka buvait
Fedka se dressa d'un bond, une lueur sinistre brillait dans ses yeux. Pierre Stépanovitch prit son revolver dans sa poche. La scène qui suivit fut aussi rapide que répugnante. Avant que Pierre Stépanovitch eût pu faire usage de son arme, Fedka se pencha vivement de côté, et de toute sa force le frappa au visage. Dans le même instant retentit un second coup non moins terrible que le premier, puis un troisième et un quatrième, tous assénés sur la joue.
L'événement lui donna raison. Le premier mouvement de Nicolas Vsévolodovitch avait été d'ôter son cache-nez pour lier les mains de son prisonnier, mais il lâcha brusquement ce dernier et le repoussa loin de lui. En un clin d'oeil Fedka fut debout, il se détourna, et, tout
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