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Et Pierre de Coulevain nous apprend que, dès sa quinzième année, elle écrivit son premier roman sur un cahier d'écolière. Ce roman, naturellement, est un roman d'amour. L'héroïne, au moment de son mariage, «a sur le visage le radieux éclat de l'amour». Elle épouse un officier de marine, car les marins avaient alors comme aujourd'hui les explorateurs une grande place dans les rêves des jeunes filles. Or, il advient que cet officier reprend la mer deux mois après les noces. Il demeure absent pendant cinq années, et, quand il rentre dans son foyer, il y trouve trois petits enfants «que Dieu lui avait envoyés pour le dédommager de son exil». «Je suis étonnée, ajoute Pierre de Coulevain, de n'en avoir pas mis une demi-douzaine, tant que j'y étais». Et voil

Ne faites pas comme ces explorateurs sans pudeur, magnifiques,

Chaque année le nombre des armements se décidait d'après ce qu'on apprenait de ceux de l'ennemi; car l'usage avait continué d'expédier des explorateurs d'une ville

Bien avant de parvenir au but, les explorateurs anglais surent qu'Amundsen les avait devancés et qu'ils n'avaient plus

Un cutter, parti de Southampton-Harbour, nous débarqua, quelques explorateurs et moi, sur le rivage, s'élevaient les cabanes abandonnées des pêcheurs bermudiens. Les craquements intérieurs se faisaient toujours entendre, et une gerbe de vapeurs s'échappait du cratère. Il n'y eut aucun doute pour nous: l'ancien volcan de Back-Cup s'était rallumé sous l'action des feux souterrains.

«Les péripéties, les dangers, les souffrances de ce voyage, nous ne les connaissons pas exactement, car les notes manquent au carnet des explorateurs. Mais cela a être terrible.

Le wagon était entouré d'étincelles et flambait comme un phare! Cette fois, c'était bien la mort, le néant absolu et final! Les aventures surhumaines de ces audacieux explorateurs des vides éternels allaient se terminer dans la photosphère d'une étoile encore inconnue et qui devait consumer, en moins d'une seconde, l'

Au milieu de leur noble mission, les Français acquéraient une habileté merveilleuse pour occuper le pays. Formés par M. de Maisonneuve et par le chef de la milice, Charles Le Moyne, ils étaient devenus des combattants consommés, des explorateurs infatigables. Ils avaient pris les bonnes qualités des sauvages, et y ajoutaient l'esprit de discipline et de tactique des milices françaises.

Un troisième vaisseau fut enlevé par un acte d'audace incomparable. D'Iberville avait envoyé quatre hommes pour signaler les bâtiments anglais. Deux des explorateurs turent faits prisonniers. Les Anglais prirent l'un de ces hommes, qui semblait le plus faible et le moins résolu pour les aider dans la manoeuvre. Un jour que presque tous les hommes étaient dans le haut de la mâture, le Canadien, n'en voyant que deux sur le pont, sauta sur une hache et leur cassa la tête, puis il délivra son compagnon; ensuite, armés de toutes pièces, ils montèrent sur le pont et ils couchèrent en joue les autres matelots, les forçant de venir se constituer prisonniers. Alors ils conduisirent sans délai les vaisseaux

En 1598, date de la première colonisation par l'Espagne, et avant cette époque, lorsque des explorateurs espagnols qui ne faisaient que passer sous Coronado, de 1540