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Mis à jour: 28 mai 2025
Nos défauts et nos qualités, nos vices et nos vertus sont autant de «forces psychiques». «Ce sont les cartes avec lesquelles se joue le jeu de la vie. Il y en a qui sont de gros atouts, il y en a qui font gagner la partie, il y en a qui la font perdre, et elles sont toutes nécessaires.» Ce déterminisme, d'ailleurs, selon Pierre de Coulevain, ne doit pas être confondu avec le fatalisme. Nous ne sommes point créés pour nous croiser les bras. Nous vivons «pour faire quelque chose», ou du mal ou du bien. Oui, mais alors où est la justice divine? «Dans la grâce d'état qui aide le malheureux
Phot. Le Roman merveilleux sera, pour les amis inconnus de Pierre de Coulevain, comme une dernière pensée de l'éminente disparue. En ces pages, qui n'auront pas de suite, l'auteur de Sur la Branche, si peu encline jusqu'alors aux confidences personnelles, nous livre, sur sa vie, sur sa jeunesse, sur le mystère de sa destinée, quelques lueurs dont s'éclaire la lente préparation de son oeuvre d'écrivain. «La nature, dit-elle, m'avait donné un jeu assez complet de cellules littéraires avec défense de m'en servir. De fait, pendant les trois quarts de ma vie, elles ont été stériles... stériles mais non pas inactives, je m'en rends compte aujourd'hui. Elles ont tout le temps capté des impressions, des images, amassé des matériaux sans nombre, et,
Et Pierre de Coulevain nous apprend que, dès sa quinzième année, elle écrivit son premier roman sur un cahier d'écolière. Ce roman, naturellement, est un roman d'amour. L'héroïne, au moment de son mariage, «a sur le visage le radieux éclat de l'amour». Elle épouse un officier de marine, car les marins avaient alors comme aujourd'hui les explorateurs une grande place dans les rêves des jeunes filles. Or, il advient que cet officier reprend la mer deux mois après les noces. Il demeure absent pendant cinq années, et, quand il rentre dans son foyer, il y trouve trois petits enfants «que Dieu lui avait envoyés pour le dédommager de son exil». «Je suis étonnée, ajoute Pierre de Coulevain, de n'en avoir pas mis une demi-douzaine, tant que j'y étais». Et voil
Pierre de Coulevain devait recevoir
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