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Mis à jour: 29 juin 2025


Elisabeth de Kerneuil, douée de tous les agrémens de la figure et de l'esprit, mais fille d'une mère qui ne pouvait la souffrir, répondit fort jeune encore aux sentimens du comte de Kerneuil, l'un des premiers gentilshommes de Bretagne. Les obstacles invincibles qu'ils éprouvèrent l'un et l'autre

Elisabeth se lève et fuit le plus vite qu'elle peut du côté opposé; elle entre dans la forêt. A peine y a-t-elle fait quelques pas, qu'elle voit quatre grandes routes formant la croix, et

Madeleine: Je sais bien pourquoi: c'est parce que maman te défend habituellement de manger des choses vinaigrées. Camille, riant: C'est possible; les choses qu'on mange rarement semblent toujours meilleures, surtout quand on les aime naturellement. Pierre: Que ferons-nous aujourd'hui pour nous amuser? Elisabeth: C'est vrai, c'est notre jeudi; nous avons congé jusqu'au dîner.

L'enfant ayant touché d'abord la première figure de la plateforme: «Ceci, dit Mme Jarley du ton solennel qu'elle employait pour ses démonstrations publiques, ceci vous représente une infortunée fille d'honneur de la reine Elisabeth, qui mourut des suites d'une piqûre au doigt pour avoir travaillé un dimanche. Remarquez le sang qui coule de son doigt; remarquez aussi le trou doré des aiguilles, de ce temps-l

Jacques: Comment ont-ils pu voir que c'étaient des voleurs? Est-ce que les voleurs ont des figures et des habits extraordinaires qui ne ressemblent pas aux nôtres? Elisabeth: Ah! je crois bien que ce n'est pas comme nous! J'ai vu toute une bande de voleurs; ils avaient des chapeaux pointus, des manteaux marrons, et des visages méchants avec d'énormes moustaches.

En 1613, «la docte, vertueuse et véritablement noble dame» Elisabeth Carew, publia une «Tragédie de Mariane, la belle reine de Juiverie» et quelques années plus tard «la noble Dame Diana Primerose» écrivit une Chaîne de Perles, qui est un panégyrique sur les «grâces sans pair» de Gloriana.

L'orage était entièrement dissipé, le ciel était serein, la nuit s'approchait. Springer prit la main du jeune homme, la serra avec un sentiment douloureux et tendre, et lui rappela qu'il était temps de partir. Alors seulement Elisabeth apprit qu'il était venu pour la dernière fois; elle rougit et se troubla: "Quoi! lui dit-elle, ne vous reverrai-je plus?

Le lendemain, de nombreuses salves d'artillerie, le roulement des tambours et les cris de joie de tout le peuple ayant annoncé la fête du jour, Elisabeth, vêtue d'un habit que lui avait prêté sa bonne hôtesse, et appuyée sur le bras de Jacques Rossi, se mêla parmi la foule qui suivait le cortége, et se rendit

Elisabeth: Et ma braise? est-elle, Auguste? Vous avez oublié ma braise! Auguste: Non, Elisabeth, mais je n'ai pas pu: on m'a fait courir. Elisabeth: Je n'aurai pas le temps de faire griller mes côtelettes; dépêchez-vous, Auguste. Louis: Il me faut un couteau pour couper mes tartines. Vite un couteau, Auguste.

Moins favorisée du ciel que sa rivale, la reine Elisabeth ne donna qu'une fille au roi de France. Décidément, l'étoile de la petite-fille de Charles-Quint pâlissait devant celle de Marie. La maîtresse royale, dans le naïf et égoïste orgueil de l'amour, ne faisait même pas

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